« La Voie est nécessaire à l´homme, autant que l´air ou la nourriture.
Elle tire l´homme hors de la détresse.
La Voie est tendresse. Mais la tendresse de la Voie n´est pas ce que nous nommons tendresse. Aucun nom commun ne la nomme. On ne peut ni la décrire, ni l´apprendre, ni l´enseigner...
La tendresse est amour de tout ce qui est, jubilation de toute naissance, désir encore et encore que tout vivant vive et donne son fruit.»
La Voie est sûrement l´œuvre la plus universelle de Maurice Bellet (1923-2018). Le théologien et psychanalyste a trouvé là une manière unique et totalement adogmatique de toucher une dimension de l´être que tout lecteur peut, grâce à lui, appréhender quelles que soient ses croyances.
« La Voie est nécessaire à l´homme, autant que l´air ou la nourriture.
Elle tire l´homme hors de la détresse.
La Voie est tendresse. Mais la tendresse de la Voie n´est pas ce que nous nommons tendresse. Aucun nom commun ne la nomme. On ne peut ni la décrire, ni l´apprendre, ni l´enseigner...
La tendresse est amour de tout ce qui est, jubilation de toute naissance, désir encore et encore que tout vivant vive et donne son fruit.»
La Voie est sûrement l´œuvre la plus universelle de Maurice Bellet (1923-2018). Le théologien et psychanalyste a trouvé là une manière unique et totalement adogmatique de toucher une dimension de l´être que tout lecteur peut, grâce à lui, appréhender quelles que soient ses croyances.