Puisant dans l’œuvre tardive de Rilke (1907-1926), Philippe Jaccottet fait surgir dans ces Poèmes épars les ultimes conquêtes poétiques de l’auteur des Élégies de Duino. Des textes d’une clarté nouvelle, figurant parmi les plus purs et les plus accomplis de l’œuvre du poète. « Il est merveilleux de voir ce poète arrivé à la maturité et qui, jeune, n’avait su dire que le soir et l’automne, tout envahi à présent d’images d’aube et de printemps. »
Puisant dans l’œuvre tardive de Rilke (1907-1926), Philippe Jaccottet fait surgir dans ces Poèmes épars les ultimes conquêtes poétiques de l’auteur des Élégies de Duino. Des textes d’une clarté nouvelle, figurant parmi les plus purs et les plus accomplis de l’œuvre du poète. « Il est merveilleux de voir ce poète arrivé à la maturité et qui, jeune, n’avait su dire que le soir et l’automne, tout envahi à présent d’images d’aube et de printemps. »