
 
		Gérard Dorn (c. 1530 - 1584) était non seulement un traducteur et  défenseur du célèbre Paracelse (1493 - 1541), mais aussi un auteur  hermétique, un philosophe et un alchymiste de première importance.
 « Un très grand nombre de choses se cachent à présent de nous, qui  étaient très familières à nos anciens Pères ». Pourquoi ? Parce que ce  qu’on appelle un peu improprement les sciences occultes sont, en  réalité, les sciences de l’occulte, c’est-à-dire la connaissance de ce  qui est caché aux yeux charnels.
 Les lecteurs attentifs et sincèrement désireux de s’enquérir de la  lumière de la nature se délecteront de ces traités, traduits ici pour la  première fois en français : 
 –	La Clef de toute la philosophie chimistique ; –	Commentaires sur L’Aurore des philosophes, sur Le Trésor de tous les trésors, et sur L’Économie minérale de Théophraste Paracelse.
 « Avant d’en venir au premier degré de la philosophie, j’ai pensé qu’il  fallait rappeler aux disciples d’implorer l’aide divine et de faire  ensuite preuve d’une extrême diligence pour se préparer à recevoir une  telle grâce. Ce traité-ci ne disserte que de cette disposition, alors  que la grâce qui vient d’en haut, il faut la demander au donateur des  lumières, Dieu Excellent Très-Grand. »
 « Tu n’as aucune raison de te plaindre de moi si tu n’obtiens aucun  résultat ni dans la vraie philosophie métaphysique ni dans la naturelle  et la chimique. Je t’ai en effet éclairci très ouvertement tout ce que  d’autres avaient rendu obscur. »

Gérard Dorn (c. 1530 - 1584) était non seulement un traducteur et  défenseur du célèbre Paracelse (1493 - 1541), mais aussi un auteur  hermétique, un philosophe et un alchymiste de première importance.
 « Un très grand nombre de choses se cachent à présent de nous, qui  étaient très familières à nos anciens Pères ». Pourquoi ? Parce que ce  qu’on appelle un peu improprement les sciences occultes sont, en  réalité, les sciences de l’occulte, c’est-à-dire la connaissance de ce  qui est caché aux yeux charnels.
 Les lecteurs attentifs et sincèrement désireux de s’enquérir de la  lumière de la nature se délecteront de ces traités, traduits ici pour la  première fois en français : 
 –	La Clef de toute la philosophie chimistique ; –	Commentaires sur L’Aurore des philosophes, sur Le Trésor de tous les trésors, et sur L’Économie minérale de Théophraste Paracelse.
 « Avant d’en venir au premier degré de la philosophie, j’ai pensé qu’il  fallait rappeler aux disciples d’implorer l’aide divine et de faire  ensuite preuve d’une extrême diligence pour se préparer à recevoir une  telle grâce. Ce traité-ci ne disserte que de cette disposition, alors  que la grâce qui vient d’en haut, il faut la demander au donateur des  lumières, Dieu Excellent Très-Grand. »
 « Tu n’as aucune raison de te plaindre de moi si tu n’obtiens aucun  résultat ni dans la vraie philosophie métaphysique ni dans la naturelle  et la chimique. Je t’ai en effet éclairci très ouvertement tout ce que  d’autres avaient rendu obscur. »
