Les mystères celtes prennent forme dans le flux d´états intermédiaires : la lumière diaphane de l´aube et du crépuscule ; la rosée et la brume, ni eau, ni air ; la transe semi-divine du guerrier ; et les états oniriques entre la vie et la mort. Les bardes et les druides invoquaient et évoluaient au milieu d´un monde d´esprits et de présages, de prouesses héroïques et de voyages merveilleux, dont on retrouve l´écho dans les motifs entrelacés, les symboles puissants et les ligures métamorphiques de l´art celtique.
Les mystères celtes prennent forme dans le flux d´états intermédiaires : la lumière diaphane de l´aube et du crépuscule ; la rosée et la brume, ni eau, ni air ; la transe semi-divine du guerrier ; et les états oniriques entre la vie et la mort. Les bardes et les druides invoquaient et évoluaient au milieu d´un monde d´esprits et de présages, de prouesses héroïques et de voyages merveilleux, dont on retrouve l´écho dans les motifs entrelacés, les symboles puissants et les ligures métamorphiques de l´art celtique.