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Shijing : livre des chants. Nouvelle traduction de poèmes choisis, extraits de l´anthologie de textes anciens chinois

Auteur : Anonyme
Editeur : TREDANIEL
Nombre de pages : 96
Date de parution : 15/10/2021
Forme : Livre relié ISBN : 9782813223906
9782813223906

NEUF habituellement en stock
Prix : 19.90€

Un grand classique de la littérature confucéenne en édition exceptionnelle, sur papier de luxe avec reliure traditionnelle à la chinoise.
Le Shijng诗经est diversement connu sous les dénominations Classique des Poèmes, Livre des Poèmes, Livre des Chants et Livre des Odes. Il renferme trois cent onze poèmes (pour six d´entre eux, seuls les titres nous sont parvenus), dont la composition s´étale sur environ cinq cents ans, entre 1100 et 600 avant J.-C. Trente-deux sont traduits ici. Selon la tradition, l´anthologie aurait été compilée par Confucius lui-même (551-479 avant J.-C).

Le Livre des Chants est l´un des cinq classiques (Wujing 五經) de la littérature confucéenne, les quatre autres étant le Yijing易經(Livre des mutations), le Shujing書經 (Livre des documents), le Liji禮記 (Livre des rites), le Chunqiu春秋 (Annales des printemps et automnes).


Le Shijng se divise en quatre parties :

國風(guofeng)airs des principautés ;
小雅 (xiaoya) petites odes de cour ;
大雅 (daya) grandes odes de cour ;
頌 (song) éloges ou hymnes.

Le Shijng continue à exercer une profonde influence dans la Chine contemporaine. Ses citations font partie du parler quotidien sous forme de chengyu -; phrases et dictons de quatre caractères issus de la littérature classique et des contes traditionnels. Chaque écolier chinois en connaîtra quelques lignes et pourra les citer.

Voici un ouvrage extrêmement ancien, dont le sens de certains éléments demeure enfoui sous le poids du temps, mais qui présente également au public moderne des images et des émotions si intemporelles et reconnaissables qu´elles auraient pu être écrites la semaine dernière. On y trouve des aperçus alléchants de l´apparat et de la splendeur antiques. Il y a aussi les plaintes d´épouses abandonnées, des odes à la solitude suite à une séparation et aux joies du véritable amour, des chants d´inquiétude sur l´état de la nation et des hymnes de louange envers la bienveillance de la maison régnante. Le lecteur moderne n´a aucune difficulté à les comprendre et à les intégrer dans son propre cadre de référence émotionnel, mais sans réelle perspective de les comprendre pleinement dans leur contexte d´origine.

 


Un grand classique de la littérature confucéenne en édition exceptionnelle, sur papier de luxe avec reliure traditionnelle à la chinoise.
Le Shijng诗经est diversement connu sous les dénominations Classique des Poèmes, Livre des Poèmes, Livre des Chants et Livre des Odes. Il renferme trois cent onze poèmes (pour six d´entre eux, seuls les titres nous sont parvenus), dont la composition s´étale sur environ cinq cents ans, entre 1100 et 600 avant J.-C. Trente-deux sont traduits ici. Selon la tradition, l´anthologie aurait été compilée par Confucius lui-même (551-479 avant J.-C).

Le Livre des Chants est l´un des cinq classiques (Wujing 五經) de la littérature confucéenne, les quatre autres étant le Yijing易經(Livre des mutations), le Shujing書經 (Livre des documents), le Liji禮記 (Livre des rites), le Chunqiu春秋 (Annales des printemps et automnes).


Le Shijng se divise en quatre parties :

國風(guofeng)airs des principautés ;
小雅 (xiaoya) petites odes de cour ;
大雅 (daya) grandes odes de cour ;
頌 (song) éloges ou hymnes.

Le Shijng continue à exercer une profonde influence dans la Chine contemporaine. Ses citations font partie du parler quotidien sous forme de chengyu -; phrases et dictons de quatre caractères issus de la littérature classique et des contes traditionnels. Chaque écolier chinois en connaîtra quelques lignes et pourra les citer.

Voici un ouvrage extrêmement ancien, dont le sens de certains éléments demeure enfoui sous le poids du temps, mais qui présente également au public moderne des images et des émotions si intemporelles et reconnaissables qu´elles auraient pu être écrites la semaine dernière. On y trouve des aperçus alléchants de l´apparat et de la splendeur antiques. Il y a aussi les plaintes d´épouses abandonnées, des odes à la solitude suite à une séparation et aux joies du véritable amour, des chants d´inquiétude sur l´état de la nation et des hymnes de louange envers la bienveillance de la maison régnante. Le lecteur moderne n´a aucune difficulté à les comprendre et à les intégrer dans son propre cadre de référence émotionnel, mais sans réelle perspective de les comprendre pleinement dans leur contexte d´origine.