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Mémento 10e degré du REAA - Illustre Elu des Quinze

Auteur : PELLE Le CROISA Pierre
Editeur : NUMERILIVRE Editions
Nombre de pages : 207
Date de parution : 11/10/2019
Forme : Livre de poche ISBN : 9782366321036
NUMERI29

NEUF habituellement en stock
Prix : 14.00€

L´Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d´horreur au lecteur d´aujourd´hui... et c´est bien normal !

L´incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d´interprétation. D´abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l´époque où il a été élaboré : plutôt que d´une exécution, il s´agit du sacrifice de ce qu´il y a de mauvais en nous. Ensuite, quand nous évoquons la justice, nous pensons à la justice sociale. Ici, il n´en est rien : nous sommes confrontés à la justice divine, prise dans sa conception théologique. Les têtes coupées des trois mauvais Compagnons correspondent au rejet des « faux esprits », de notre ego, du « moi » tout puissant. Détachées de l´animalité des corps (qui sont ouverts de la poitrine au pubis pour permettre à l´âme de se libérer) et fichées sur des pieux, elles s´élèvent à présent vers le ciel. La triade négative d´Abiram, Sterkin et Oterfut - celle qui avait détruit la triade modèle de Salomon, Hiram Abi et Hiram de Tyr -, a été éradiquée. Une nouvelle s´y substitue : celle de Salomon, Adoniram (qui signifie en hébreu le « Seigneur » ou le « Maître Hiram ») et Hiram de Tyr. Le monde peut alors retrouver la paix, et l´initié la lumière divine (l´« Aïn Soph Aor ») vers laquelle il se tourne désormais pour qu´elle rayonne en lui...

 

L´Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d´horreur au lecteur d´aujourd´hui... et c´est bien normal ! L´incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d´interprétation. D´abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l´époque où il a été élaboré : plutôt que d´une exécution, il s´agit du sacrifice de ce qu´il y a de mauvais en nous.


L´Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d´horreur au lecteur d´aujourd´hui... et c´est bien normal !

L´incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d´interprétation. D´abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l´époque où il a été élaboré : plutôt que d´une exécution, il s´agit du sacrifice de ce qu´il y a de mauvais en nous. Ensuite, quand nous évoquons la justice, nous pensons à la justice sociale. Ici, il n´en est rien : nous sommes confrontés à la justice divine, prise dans sa conception théologique. Les têtes coupées des trois mauvais Compagnons correspondent au rejet des « faux esprits », de notre ego, du « moi » tout puissant. Détachées de l´animalité des corps (qui sont ouverts de la poitrine au pubis pour permettre à l´âme de se libérer) et fichées sur des pieux, elles s´élèvent à présent vers le ciel. La triade négative d´Abiram, Sterkin et Oterfut - celle qui avait détruit la triade modèle de Salomon, Hiram Abi et Hiram de Tyr -, a été éradiquée. Une nouvelle s´y substitue : celle de Salomon, Adoniram (qui signifie en hébreu le « Seigneur » ou le « Maître Hiram ») et Hiram de Tyr. Le monde peut alors retrouver la paix, et l´initié la lumière divine (l´« Aïn Soph Aor ») vers laquelle il se tourne désormais pour qu´elle rayonne en lui...

 

L´Illustre Élu des Quinze est un des degrés de Vengeance. Il se réfère à la justice. Mais les atrocités auxquelles la légende nous fait participer, inspirent un sentiment d´horreur au lecteur d´aujourd´hui... et c´est bien normal ! L´incompréhension que suscite ce grade provient de deux erreurs d´interprétation. D´abord, ce rituel qui apparaît vers le milieu du XVIIIe siècle, porte la trace de la vision chrétienne de l´époque où il a été élaboré : plutôt que d´une exécution, il s´agit du sacrifice de ce qu´il y a de mauvais en nous.