Chacun de nous porte en lui une part d’ombre : le mal que nous ne voudrions pas faire mais que l’on fait quand même, le bien que nous voudrions faire mais que l’on ne fait pas, nos combats souterrains.
Martin Steffens nous guide pas à pas dans cette lutte intérieure inhérente à l’homme. S’avouer notre fragilité morale, accepter cette part d’ombre, ce n’est pas sombrer : c’est tomber de haut, certes, mais c’est aussi ouvrir dans l’abîme du mal un abîme plus grand encore, et se relever, plus fort.
Né en 1977, Martin Steffens enseigne la philosophie en classes préparatoires littéraires. Lecteur de Nietzsche et de Simone Weil, chroniqueur dans les journaux La Vie et La Croix, il a notamment publié le très remarqué Petit Traité de la joie (Salvator, 2011) ou encore La Vie en bleu (Marabout, 2014).
« Ce pas de trop, celui qui nous a si souvent précipités dans d’impossibles ornières, pourquoi ne deviendrait-il pas le premier pas d’un nouveau chemin ? Un chemin qui ferait le pari de traverser le mal au lieu d’essayer en vain de l’éviter. »
Martin Steffens
Chacun de nous porte en lui une part d’ombre : le mal que nous ne voudrions pas faire mais que l’on fait quand même, le bien que nous voudrions faire mais que l’on ne fait pas, nos combats souterrains.
Martin Steffens nous guide pas à pas dans cette lutte intérieure inhérente à l’homme. S’avouer notre fragilité morale, accepter cette part d’ombre, ce n’est pas sombrer : c’est tomber de haut, certes, mais c’est aussi ouvrir dans l’abîme du mal un abîme plus grand encore, et se relever, plus fort.
Né en 1977, Martin Steffens enseigne la philosophie en classes préparatoires littéraires. Lecteur de Nietzsche et de Simone Weil, chroniqueur dans les journaux La Vie et La Croix, il a notamment publié le très remarqué Petit Traité de la joie (Salvator, 2011) ou encore La Vie en bleu (Marabout, 2014).
« Ce pas de trop, celui qui nous a si souvent précipités dans d’impossibles ornières, pourquoi ne deviendrait-il pas le premier pas d’un nouveau chemin ? Un chemin qui ferait le pari de traverser le mal au lieu d’essayer en vain de l’éviter. »
Martin Steffens