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PARACELSE Ainsi parlait Paracelse. Dits et maximes de vie. Édition bilingue Librairie Eklectic

Ainsi parlait Paracelse. Dits et maximes de vie. Édition bilingue

Auteur : PARACELSE
Editeur : ARFUYEN         collection : Ainsi parlait
Nombre de pages : 158
Date de parution : 23/10/2016
Forme : Livre ISBN : 9782845902428
ARFUY154

NEUF habituellement en stock
Prix : 13.00€

Après deux maîtres spirituels (Eckhart, Thérèse d’Avila), deux philosophes (Sénèque, Lulle) et trois écrivains (Shakespeare, Dickinson), ce septième ouvrage de la collection « Ainsi parlait » est consacré à un des grands humanistes de la Renaissance, esprit plus universel encore s’il se peut que ses deux aînés Érasme (1467-1536) et Thomas More (1478-1535).

Paracelse, qui soigna Érasme à Bâle en 1526, était médecin, naturaliste, philosophe et théologien. Il fut un des plus admirables génies de la Renaissance par son savoir encyclopédique, son audace intellectuelle, son intégrité morale et son inépuisable énergie. À sa mort il laissa tous ses biens aux pauvres.

L’œuvre de Paracelse est immense (26 volumes) et couvre les champs les plus variés. Son style est direct et savoureux. Ses formules sont frappantes et demeurent d’une grande actualité. Étonnamment, elle reste cependant très peu traduite. Grâce à la collection « Ainsi parlait », c’est la première fois qu’est donnée une approche synthétique de ses textes.

Révolté contre le conformisme des savants de son temps, il déchaine leur colère par la hardiesse de sa parole et la puissance visionnaire de sa philosophie de la nature : « Plus je vais plus je trouve que ce n’est pas seulement en médecine, mais aussi en astronomie et en philosophie que rien n’a été fondé sur de vrais principes. » Et il ne craint pas d’ajouter :« Après ma mort je serai là, plus encore qu’avant, pour vous juger. Et si vous dévorez mon corps, vous n’aurez dévoré que de la boue. Paracelse sera là, même sans corps, pour vous livrer bataille. »

Étonnamment proche de la philosophie de présocratiques comme Anaximandre et Héraclite, mais aussi de le pensée taoïste, Paracelse est attentif avant tout aux correspondances qui entre l’homme et son environnement : « L’homme, écrit-il, figure un pépin et le monde la pomme ; et comme nous pensons les pépins au sein de la pomme, il convient de penser l’homme dans le monde qui l’entoure. »

Lucien Braun, qui a choisi et traduit les présents textes à partir des œuvres complètes, a consacré sa vie à Paracelse et en est un éminent spécialiste. Pour les Éditions Arfuyen, il a déjà réalisé l’Évangile d’un médecin errant, publié en octobre 2015. Il rend aujourd’hui enfin aisément accessible à tous cette pensée dérangeante et féconde.


Après deux maîtres spirituels (Eckhart, Thérèse d’Avila), deux philosophes (Sénèque, Lulle) et trois écrivains (Shakespeare, Dickinson), ce septième ouvrage de la collection « Ainsi parlait » est consacré à un des grands humanistes de la Renaissance, esprit plus universel encore s’il se peut que ses deux aînés Érasme (1467-1536) et Thomas More (1478-1535).

Paracelse, qui soigna Érasme à Bâle en 1526, était médecin, naturaliste, philosophe et théologien. Il fut un des plus admirables génies de la Renaissance par son savoir encyclopédique, son audace intellectuelle, son intégrité morale et son inépuisable énergie. À sa mort il laissa tous ses biens aux pauvres.

L’œuvre de Paracelse est immense (26 volumes) et couvre les champs les plus variés. Son style est direct et savoureux. Ses formules sont frappantes et demeurent d’une grande actualité. Étonnamment, elle reste cependant très peu traduite. Grâce à la collection « Ainsi parlait », c’est la première fois qu’est donnée une approche synthétique de ses textes.

Révolté contre le conformisme des savants de son temps, il déchaine leur colère par la hardiesse de sa parole et la puissance visionnaire de sa philosophie de la nature : « Plus je vais plus je trouve que ce n’est pas seulement en médecine, mais aussi en astronomie et en philosophie que rien n’a été fondé sur de vrais principes. » Et il ne craint pas d’ajouter :« Après ma mort je serai là, plus encore qu’avant, pour vous juger. Et si vous dévorez mon corps, vous n’aurez dévoré que de la boue. Paracelse sera là, même sans corps, pour vous livrer bataille. »

Étonnamment proche de la philosophie de présocratiques comme Anaximandre et Héraclite, mais aussi de le pensée taoïste, Paracelse est attentif avant tout aux correspondances qui entre l’homme et son environnement : « L’homme, écrit-il, figure un pépin et le monde la pomme ; et comme nous pensons les pépins au sein de la pomme, il convient de penser l’homme dans le monde qui l’entoure. »

Lucien Braun, qui a choisi et traduit les présents textes à partir des œuvres complètes, a consacré sa vie à Paracelse et en est un éminent spécialiste. Pour les Éditions Arfuyen, il a déjà réalisé l’Évangile d’un médecin errant, publié en octobre 2015. Il rend aujourd’hui enfin aisément accessible à tous cette pensée dérangeante et féconde.