Un mythe doit être considéré comme un document initiatique rigoureux formant la base d’une religion. Toute fable qui ne présente pas cette rigueur est une simple légende, une belle histoire, et non un mythe. Celui-ci est construit suivant des règles fixes et immuables, parce qu’elles sont l’expression même de la vérité géométrique et que celle-ci ne peut se traduire que d’une seule manière.
Le mythe de Vénus, une fois réduit à une simplicité biblique, dépouillé de tous les artifices de la littérature poétique et exprimé dans un langage auquel nous sommes familiarisé en Occident, apparaîtra dans toute sa clarté et sa précision, faisant découvrir au lecteur un aspect initiatique du mythe sur lequel bien peu d’initiés comme de profanes ont jusqu’à ce jour pris la peine de se pencher.
Car Vénus – au delà de la simple figure mythologique dont les charmes sont restés célèbres – c’est l’attraction, la septième forme de la Divinité : la potentialité dont résulte l’équilibre universel…
Mais pour l’appréhender, il s’avèrera nécessaire d’entrer dans le temple. Il faudra monter jusqu’à l’autel, pénétrer dans le saint des saints et descendre dans la crypte, pour comprendre le Mythe, pour comprendre la Religion et pour pénétrer les Mystères des Dieux…
C’est là, la véritable initiation, la clef de la haute et sublime science qui, seule, pourra donner la raison suprême des choses…
Un mythe doit être considéré comme un document initiatique rigoureux formant la base d’une religion. Toute fable qui ne présente pas cette rigueur est une simple légende, une belle histoire, et non un mythe. Celui-ci est construit suivant des règles fixes et immuables, parce qu’elles sont l’expression même de la vérité géométrique et que celle-ci ne peut se traduire que d’une seule manière.
Le mythe de Vénus, une fois réduit à une simplicité biblique, dépouillé de tous les artifices de la littérature poétique et exprimé dans un langage auquel nous sommes familiarisé en Occident, apparaîtra dans toute sa clarté et sa précision, faisant découvrir au lecteur un aspect initiatique du mythe sur lequel bien peu d’initiés comme de profanes ont jusqu’à ce jour pris la peine de se pencher.
Car Vénus – au delà de la simple figure mythologique dont les charmes sont restés célèbres – c’est l’attraction, la septième forme de la Divinité : la potentialité dont résulte l’équilibre universel…
Mais pour l’appréhender, il s’avèrera nécessaire d’entrer dans le temple. Il faudra monter jusqu’à l’autel, pénétrer dans le saint des saints et descendre dans la crypte, pour comprendre le Mythe, pour comprendre la Religion et pour pénétrer les Mystères des Dieux…
C’est là, la véritable initiation, la clef de la haute et sublime science qui, seule, pourra donner la raison suprême des choses…