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PINY Alexandre L´oraison du coeur, suivi de

L´oraison du coeur, suivi de "Alexandre Piny ou le Maître du pur amour" par H. Bremond

Auteur : PINY Alexandre
Editeur : CERF         collection : Sagesses chrétiennes
Nombre de pages : 135
Date de parution : 19/11/2013
Forme : Livre ISBN : 9782204097178
CERF958

NEUF habituellement en stock
Prix : 9.00€

« Voulez-vous aimer ? »

La réponse d’Alexandre Piny — grand spirituel dominicain du XVIIe siècle — aux âmes ferventes doutant de leur amour pour Dieu est claire : « Si vraiment vous voulez aimer, vous aimez. » Car, contrairement aux autres vertus qui demandent une réalisation extérieure, l’amour est un acte intérieur qui procède de cette puissance intime de l’âme qu’on appelle la volonté. Faire oraison signifie aimer Dieu ; pratiquer l’oraison du cœur, c’est n’être là que pour y aimer son Dieu, c’est consentir, sans y consentir, aux distractions qui nous tyrannisent, c’est s’abandonner d´avance et par amour à toutes les croix qu’il lui plaira de nous envoyer, dans une remise totale et inconditionnelle de nous-mêmes entre ses mains.

Deux textes d’Henri Bremond extraits de l´« Histoire littéraire du sentiment religieux » complètent et expliquent cette doctrine.


« Voulez-vous aimer ? »

La réponse d’Alexandre Piny — grand spirituel dominicain du XVIIe siècle — aux âmes ferventes doutant de leur amour pour Dieu est claire : « Si vraiment vous voulez aimer, vous aimez. » Car, contrairement aux autres vertus qui demandent une réalisation extérieure, l’amour est un acte intérieur qui procède de cette puissance intime de l’âme qu’on appelle la volonté. Faire oraison signifie aimer Dieu ; pratiquer l’oraison du cœur, c’est n’être là que pour y aimer son Dieu, c’est consentir, sans y consentir, aux distractions qui nous tyrannisent, c’est s’abandonner d´avance et par amour à toutes les croix qu’il lui plaira de nous envoyer, dans une remise totale et inconditionnelle de nous-mêmes entre ses mains.

Deux textes d’Henri Bremond extraits de l´« Histoire littéraire du sentiment religieux » complètent et expliquent cette doctrine.