L’histoire de la Respectable Loge Saint Jean d’Écosse, qui fut Mère Loge Écossaise de Marseille, puis de France, manifeste la vigueur dont peut faire preuve la Franc-maçonnerie dans des époques de profonds bouleversements. La société française de la seconde moitié du XVIIIe siècle, comme sans aucun doute celle de ce début du XXIe siècle, fut de celles-là, où les hommes et les institutions inscrivent leurs actions dans un mouvement de transformation qui les dépasse et que pourtant ils façonnent.
Ces frères, animés d’une généreuse ambition, qui dès 1750 osèrent cultiver l’art de vivre comme la curiosité culturelle et scientifique, l’ouverture intellectuelle comme l’audace dans leurs projets, portent une source d’inspiration que tout contemporain peut oser traduire aujourd’hui dans ses choix, ses orientations, ses actions.
Les descendants et héritiers de Saint Jean d’Écosse sauront s’inspirer de son caractère farouchement indépendant, qui lui permit de résister vaillamment à plus d’un demi-siècle de pressions hégémoniques, avant de se retirer fièrement sur ses terres méditerranéennes et provençales une fois l’œuvre accomplie.
L’histoire de la Respectable Loge Saint Jean d’Écosse, qui fut Mère Loge Écossaise de Marseille, puis de France, manifeste la vigueur dont peut faire preuve la Franc-maçonnerie dans des époques de profonds bouleversements. La société française de la seconde moitié du XVIIIe siècle, comme sans aucun doute celle de ce début du XXIe siècle, fut de celles-là, où les hommes et les institutions inscrivent leurs actions dans un mouvement de transformation qui les dépasse et que pourtant ils façonnent.
Ces frères, animés d’une généreuse ambition, qui dès 1750 osèrent cultiver l’art de vivre comme la curiosité culturelle et scientifique, l’ouverture intellectuelle comme l’audace dans leurs projets, portent une source d’inspiration que tout contemporain peut oser traduire aujourd’hui dans ses choix, ses orientations, ses actions.
Les descendants et héritiers de Saint Jean d’Écosse sauront s’inspirer de son caractère farouchement indépendant, qui lui permit de résister vaillamment à plus d’un demi-siècle de pressions hégémoniques, avant de se retirer fièrement sur ses terres méditerranéennes et provençales une fois l’œuvre accomplie.