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La géobiologie du vide. Pour une géobiologie au service du Vivant.

Auteur : BONVIN Jacques
Editeur : MOSAÏQUE
Nombre de pages : 218
Date de parution : 12/03/2018
Forme : Livre ISBN : 9782909507286
MOS37

NEUF habituellement en stock
Prix : 18.00€

En trente ans la géobiologie a considérablement évolué. Il faut dire que l’homme s’est vite habitué aux nouvelles nocivités qu’il a créées sans trop se poser de questions. Et la géobiologie du Plein, verrouillée vis et boulons sur l’habitat uniquement, apporte toujours les mêmes réponses morcelées. 

Il existe un autre Champ de Cohérence que l’auteur appelle la géobiologie du Vide. Dans une vision taoïste du monde, il permet de percevoir et de réaliser l’Homme ­debout.

«C’est par le Vide que le Plein parvient à manifester sa vraie plénitude ».

Chacun définit sa position dans le monde en fonction de sa culture, de son chemin de vie, de ses croyances et de ses certitudes. Il s’approprie alors une vision singulière du Vivant. Il se construit ses outils et ne développera son travail dans le monde qu’à l’aune de ses mesures indispensables à la géobiologie du Plein dans une vision localisée.

Dans cet autre Champ de Cohérence, les références n’offrent aucune garantie, aussi il se créera une instabilité qui entraînera une fuite des repères. Ce qui nous obligera à regarder notre pratique géobiologique différemment et à faire émerger d’autres outils pour travailler.

Le Vide ne trouve sa valeur que par l’activation de la Forme et par conséquent celle du Tracé régulateur, car les deux sont indissociables pour entrer en résonance avec l’Univers. On comprendra alors pourquoi les grands géomètres, bien avant Pythagore, ou les grands bâtisseurs bien avant Hiram, ne se sont jamais intéressés aux réseaux géomagnétiques.

L’homme est une forme en mouvement et de par la manière dont il appréhendera sa place dans cette relation au Vide, il modifiera ou pas son environnement !


En trente ans la géobiologie a considérablement évolué. Il faut dire que l’homme s’est vite habitué aux nouvelles nocivités qu’il a créées sans trop se poser de questions. Et la géobiologie du Plein, verrouillée vis et boulons sur l’habitat uniquement, apporte toujours les mêmes réponses morcelées. 

Il existe un autre Champ de Cohérence que l’auteur appelle la géobiologie du Vide. Dans une vision taoïste du monde, il permet de percevoir et de réaliser l’Homme ­debout.

«C’est par le Vide que le Plein parvient à manifester sa vraie plénitude ».

Chacun définit sa position dans le monde en fonction de sa culture, de son chemin de vie, de ses croyances et de ses certitudes. Il s’approprie alors une vision singulière du Vivant. Il se construit ses outils et ne développera son travail dans le monde qu’à l’aune de ses mesures indispensables à la géobiologie du Plein dans une vision localisée.

Dans cet autre Champ de Cohérence, les références n’offrent aucune garantie, aussi il se créera une instabilité qui entraînera une fuite des repères. Ce qui nous obligera à regarder notre pratique géobiologique différemment et à faire émerger d’autres outils pour travailler.

Le Vide ne trouve sa valeur que par l’activation de la Forme et par conséquent celle du Tracé régulateur, car les deux sont indissociables pour entrer en résonance avec l’Univers. On comprendra alors pourquoi les grands géomètres, bien avant Pythagore, ou les grands bâtisseurs bien avant Hiram, ne se sont jamais intéressés aux réseaux géomagnétiques.

L’homme est une forme en mouvement et de par la manière dont il appréhendera sa place dans cette relation au Vide, il modifiera ou pas son environnement !