À l’instar d’un Thich Nhat Hanh, Bernie Glassmann défend l’idée d’un « bouddhisme engagé » dans lequel la conscience issue de la pratique de la méditation s’investit dans des actions quotidiennes au service des autres et de la justice. À travers le commentaire de deux textes fondamentaux, le Soutra du Cœur et le Sandokaï, il met en lumière le lien qui unit le bouddhisme et l’action sociale : rien n’est séparé, tout est Corps de l’Unité. Éveil et compassion active sont inséparables : on ne peut absolument pas rester indifférent à la souffrance d’autrui, et c’est par l’attention aux plus faibles qu’on progresse vers la bouddhéité. Le Zen authentique se vit dans le monde et non hors de lui.
À l’instar d’un Thich Nhat Hanh, Bernie Glassmann défend l’idée d’un « bouddhisme engagé » dans lequel la conscience issue de la pratique de la méditation s’investit dans des actions quotidiennes au service des autres et de la justice. À travers le commentaire de deux textes fondamentaux, le Soutra du Cœur et le Sandokaï, il met en lumière le lien qui unit le bouddhisme et l’action sociale : rien n’est séparé, tout est Corps de l’Unité. Éveil et compassion active sont inséparables : on ne peut absolument pas rester indifférent à la souffrance d’autrui, et c’est par l’attention aux plus faibles qu’on progresse vers la bouddhéité. Le Zen authentique se vit dans le monde et non hors de lui.