Après une première amorce de révision du grade d´écossais vert, opérée en 1777, il faudra plus de trente ans à Jean-Baptiste Willermoz pour finaliser ce qui deviendra alors le grade de maître écossais de Saint-André, quatrième et dernier grade de la maçonnerie du Rite Écossais Rectifié.
Tout en s´inspirant de nombreux éléments de l´écossisme français traditionnel, ainsi que de l´écossais allemand de la Stricte observance, son auteur lyonnais y exprimera la nature profondément chrétienne et martinésiste de la rectification du régime maçonnique allemand opérée aux convents des Gaules en 1778 et de Wilhelmsbad en 1782.
Grade indispensable à la compréhension des sublimes lumières de la doctrine du rite, il en est la quintessence et l´expression la plus mystique et accomplie. Il constitue en même temps le véritable testament maçonnique et illuministe de Willermoz.
Après une première amorce de révision du grade d´écossais vert, opérée en 1777, il faudra plus de trente ans à Jean-Baptiste Willermoz pour finaliser ce qui deviendra alors le grade de maître écossais de Saint-André, quatrième et dernier grade de la maçonnerie du Rite Écossais Rectifié.
Tout en s´inspirant de nombreux éléments de l´écossisme français traditionnel, ainsi que de l´écossais allemand de la Stricte observance, son auteur lyonnais y exprimera la nature profondément chrétienne et martinésiste de la rectification du régime maçonnique allemand opérée aux convents des Gaules en 1778 et de Wilhelmsbad en 1782.
Grade indispensable à la compréhension des sublimes lumières de la doctrine du rite, il en est la quintessence et l´expression la plus mystique et accomplie. Il constitue en même temps le véritable testament maçonnique et illuministe de Willermoz.