Dans La lumière vient de l´Orient, Patrick Lafcadio Hearn emmène son lecteur dans le Japon de la fin du XIXe siècle, à la découverte d´une civilisation, très proche de l´Occident par son développement industriel et économique, mais incroyablement exotique par ses moeurs, ses croyances et sa pensée. Au travers des souvenirs de l´auteur, le lecteur se trouvera tour à tour plongé dans la campagne verdoyante, tiré à toute vitesse par un kuruma, ou devant une classe d´étudiants japonais avides d´échanger leurs opinions sur la littérature anglaise, ou encore dans un théâtre, assistant à la représentation d´un drame typiquement nippon, qui raconte la mort tragique de deux amants appartenant à la mentalité samouraï. Dans ces pages, Patrick Lafcadio Hearn parvient à associer le meilleur de ses talents de pédagogue et de conteur pour transmettre, avec sensibilité et sobriété, toute la richesse de son expérience au pays du Soleil Levant.
Patrick Lafcadio Hearn (1850-1904) est un écrivain d´origine irlandaise. Après être passé par l´Angleterre et la France, il se rend aux États-Unis où il décroche un poste de journaliste au sein du Harper´s Magazine.
En 1890, il voyage vers le Japon pour des raisons professionnelles, mais ne tarde pas à poser sa démission, le célèbre orientaliste Basil Hall Chamberlain étant parvenu à lui obtenir une place à l´École Moyenne Ordinaire de Matsue.
Patrick Lafcadio Hearn ne quittera plus le territoire : en 1891, il épouse une jeune femme samouraï, prend la nationalité japonaise et accède, quelques années plus tard, à la chaire de littérature anglaise à l´Université impériale de Tokyo.
Dans La lumière vient de l´Orient, Patrick Lafcadio Hearn emmène son lecteur dans le Japon de la fin du XIXe siècle, à la découverte d´une civilisation, très proche de l´Occident par son développement industriel et économique, mais incroyablement exotique par ses moeurs, ses croyances et sa pensée. Au travers des souvenirs de l´auteur, le lecteur se trouvera tour à tour plongé dans la campagne verdoyante, tiré à toute vitesse par un kuruma, ou devant une classe d´étudiants japonais avides d´échanger leurs opinions sur la littérature anglaise, ou encore dans un théâtre, assistant à la représentation d´un drame typiquement nippon, qui raconte la mort tragique de deux amants appartenant à la mentalité samouraï. Dans ces pages, Patrick Lafcadio Hearn parvient à associer le meilleur de ses talents de pédagogue et de conteur pour transmettre, avec sensibilité et sobriété, toute la richesse de son expérience au pays du Soleil Levant.
Patrick Lafcadio Hearn (1850-1904) est un écrivain d´origine irlandaise. Après être passé par l´Angleterre et la France, il se rend aux États-Unis où il décroche un poste de journaliste au sein du Harper´s Magazine.
En 1890, il voyage vers le Japon pour des raisons professionnelles, mais ne tarde pas à poser sa démission, le célèbre orientaliste Basil Hall Chamberlain étant parvenu à lui obtenir une place à l´École Moyenne Ordinaire de Matsue.
Patrick Lafcadio Hearn ne quittera plus le territoire : en 1891, il épouse une jeune femme samouraï, prend la nationalité japonaise et accède, quelques années plus tard, à la chaire de littérature anglaise à l´Université impériale de Tokyo.