Le présent ouvrage est trois fois remarquable, d´abord parce qu´il émane du grand maître Jamgön Kongtrul Lodreu Thayé, ensuite parce qu´il forme un des chapitres de son premier « Trésor » et, enfin, parce qu´il donne à voir les plus hautes cimes des tantras bouddhistes, les pratiques couramment dites « des canaux et des souffles » (tsaloung), qui débouchent sur la grande félicité immuable.

Les Instructions cruciales font partie du « Trésor de connaissances », dont elles forment l´un des quarante « livres », le quatrième titre du volume VIII consacré à « l´entraînement supérieur au recueillement profond ».

Y sont abordés tous les processus de la « phase de perfection » (dzogrim) qui, en tant que pratique même de la connaissance transcendante, commence par les « canaux et les souffles » pour aboutir à la luminosité incomposée. La phase de perfection fait suite à la purification de la vision qu´assure la « phase de création » (kyérim). Les instructions cruciales proprement dites sont des conseils sur expérience, des secrets techniques transmis de bouche à oreille que le maître explique en les adaptant à chacun. Au fil des siècles, ces enseignements ont été couchés par écrit dans le respect de leur pertinence et de leur beauté. Grand connaisseur de la littérature attachée à chacune des Le présent ouvrage est trois fois remarquable, d´abord parce qu´il émane du grand maître Jamgön Kongtrul Lodreu Thayé, ensuite parce qu´il forme un des chapitres de son premier « Trésor » et, enfin, parce qu´il donne à voir les plus hautes cimes des tantras bouddhistes, les pratiques couramment dites « des canaux et des souffles » (tsaloung), qui débouchent sur la grande félicité immuable.

Les Instructions cruciales font partie du « Trésor de connaissances », dont elles forment l´un des quarante « livres », le quatrième titre du volume VIII consacré à « l´entraînement supérieur au recueillement profond ».

Y sont abordés tous les processus de la « phase de perfection » (dzogrim) qui, en tant que pratique même de la connaissance transcendante, commence par les « canaux et les souffles » pour aboutir à la luminosité incomposée. La phase de perfection fait suite à la purification de la vision qu´assure la « phase de création » (kyérim). Les instructions cruciales proprement dites sont des conseils sur expérience, des secrets techniques transmis de bouche à oreille que le maître explique en les adaptant à chacun. Au fil des siècles, ces enseignements ont été couchés par écrit dans le respect de leur pertinence et de leur beauté. Grand connaisseur de la littérature attachée à chacune desLe présent ouvrage est trois fois remarquable, d´abord parce qu´il émane du grand maître Jamgön Kongtrul Lodreu Thayé, ensuite parce qu´il forme un des chapitres de son premier « Trésor » et, enfin, parce qu´il donne à voir les plus hautes cimes des tantras bouddhistes, les pratiques couramment dites « des canaux et des souffles » (tsaloung), qui débouchent sur la grande félicité immuable.

Les Instructions cruciales font partie du « Trésor de connaissances », dont elles forment l´un des quarante « livres », le quatrième titre du volume VIII consacré à « l´entraînement supérieur au recueillement profond ».

Y sont abordés tous les processus de la « phase de perfection » (dzogrim) qui, en tant que pratique même de la connaissance transcendante, commence par les « canaux et les souffles » pour aboutir à la luminosité incomposée. La phase de perfection fait suite à la purification de la vision qu´assure la « phase de création » (kyérim). Les instructions cruciales proprement dites sont des conseils sur expérience, des secrets techniques transmis de bouche à oreille que le maître explique en les adaptant à chacun. Au fil des siècles, ces enseignements ont été couchés par écrit dans le respect de leur pertinence et de leur beauté. Grand connaisseur de la littérature attachée à chacune des lignées de pratique tibétaines, Jamgön Kongtrul déploie par-delà les différences d´école une présentation aussi complète que possible des innombrables « techniques », toujours ancrées dans la vue et dans la tradition textuelle, qui conduisent à cette forme de la connaissance supérieure que les tantras appellent « grande félicité ».