Gregory Bateson à lui seul est une invitation au voyage. Mais un voyage pas comme les autres, un voyage à la fois heuristique et esthétique, et dont la destination, pour reprendre la formule d’Eliot, consiste à nous ramener là d’où nous étions partis tout en découvrant ce lieu pour la première fois.
Le véritable voyage, après tout, ne consiste-t-il pas à avoir de nouveaux yeux plutôt qu’à chercher de nouveaux paysages, comme le suggérait Proust ? C’est à cette invitation que nous convions le lecteur : plonger dans la vie et la pensée de l’un des plus étonnants scientifiques du vingtième siècle, un scientifique qui aura tout à la fois marqué son époque mais qui, cependant, reste encore méconnu. C’est cette lacune que l’auteur a tenté de combler.
Gregory Bateson à lui seul est une invitation au voyage. Mais un voyage pas comme les autres, un voyage à la fois heuristique et esthétique, et dont la destination, pour reprendre la formule d’Eliot, consiste à nous ramener là d’où nous étions partis tout en découvrant ce lieu pour la première fois.
Le véritable voyage, après tout, ne consiste-t-il pas à avoir de nouveaux yeux plutôt qu’à chercher de nouveaux paysages, comme le suggérait Proust ? C’est à cette invitation que nous convions le lecteur : plonger dans la vie et la pensée de l’un des plus étonnants scientifiques du vingtième siècle, un scientifique qui aura tout à la fois marqué son époque mais qui, cependant, reste encore méconnu. C’est cette lacune que l’auteur a tenté de combler.