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MAIER Michaël La table d´or de Michaël Maïer ( intro., trad., notes Hans van Kasteel) Librairie Eklectic

La table d´or de Michaël Maïer ( intro., trad., notes Hans van Kasteel)

Auteur : MAIER Michaël
Editeur : BEYA
Nombre de pages : 458
Date de parution : 26/12/2015
Forme : Livre relié ISBN : 9782930729039
BEYA17

NEUF habituellement en stock
Prix : 43.00€

Dans La Table d’or (1617), la Chimie invite douze nations à un banquet. Leurs principaux représentants (Hermès Trismégiste, Marie la Juive, Démocrite, Morien, Avicenne, Albert le Grand, etc.) y font tour à tour l’apologie de leur vénérable hôtesse, souillée par les incessantes attaques des orgueilleux et des ignorants.
Il appartient au lecteur, avec l’aide d’Isis, de récolter, de rassembler et de réunir, dans cette fresque impressionnante d’érudition, les enseignements les plus précieux que l’auteur y a éparpillés :
« Parmi les choses sublunaires, une qui est unique et paraît très abstruse, comme n’existant pas, s’offre à tous ceux qui parlent philosophie à toutes les époques et dans tous les pays, indigne donc d’être recherchée, cependant bien considérée par d’innombrables hommes qui ne s’attachent pas à la surface, mais pénètrent la chose en profondeur, afin de la remarquer des yeux et de la percevoir par l’intellect, comme un point immobile ; ils l’ont décrite des milliers et des milliers de fois, en des langages très divers, certes à mots couverts et en figures.
Cette chose, c’est le SUJET DE LA CHIMIE.
S’accordent sur cette chose, à l’exclusion de tous les ignorants : les philosophes de toutes les époques, même les plus reculées ; les plus anciens poètes, dans leurs allégories et fictions primordiales ; les peuples de toutes les nations, quels que soient leurs talents, langues, moeurs, religions, lois ou autres usages, dans les nombreux royaumes non seulement d’Europe, mais aussi d’Afrique et d’Asie. »


Dans La Table d’or (1617), la Chimie invite douze nations à un banquet. Leurs principaux représentants (Hermès Trismégiste, Marie la Juive, Démocrite, Morien, Avicenne, Albert le Grand, etc.) y font tour à tour l’apologie de leur vénérable hôtesse, souillée par les incessantes attaques des orgueilleux et des ignorants.
Il appartient au lecteur, avec l’aide d’Isis, de récolter, de rassembler et de réunir, dans cette fresque impressionnante d’érudition, les enseignements les plus précieux que l’auteur y a éparpillés :
« Parmi les choses sublunaires, une qui est unique et paraît très abstruse, comme n’existant pas, s’offre à tous ceux qui parlent philosophie à toutes les époques et dans tous les pays, indigne donc d’être recherchée, cependant bien considérée par d’innombrables hommes qui ne s’attachent pas à la surface, mais pénètrent la chose en profondeur, afin de la remarquer des yeux et de la percevoir par l’intellect, comme un point immobile ; ils l’ont décrite des milliers et des milliers de fois, en des langages très divers, certes à mots couverts et en figures.
Cette chose, c’est le SUJET DE LA CHIMIE.
S’accordent sur cette chose, à l’exclusion de tous les ignorants : les philosophes de toutes les époques, même les plus reculées ; les plus anciens poètes, dans leurs allégories et fictions primordiales ; les peuples de toutes les nations, quels que soient leurs talents, langues, moeurs, religions, lois ou autres usages, dans les nombreux royaumes non seulement d’Europe, mais aussi d’Afrique et d’Asie. »