« Me voici dans un traîneau actionné par une hélice d’hélicoptère ; avec moi l’inventeur, M. de Lesseps. » Jacques-Henri Lartigue
« L’Ailonive » ! Quel drôle de nom pour une drôle de machine… ! « Un traîneau à hélice » conçu pour se déplacer à grande vitesse sur les sentiers enneigés de haute montagne, réalisé par deux hommes de génie : Bertrand de Lesseps et Julien Champagne, assistés d’un jeune mécanicien, Henri Steineur. En son temps, le fameux « traîneau à hélice » fit l’admiration de tous puis, discrètement, retomba dans l’oubli. Eugène Canseliet est sans doute le premier à avoir abordé le sujet dès la seconde édition de ses « Deux logis alchimiques ». C’est de cette ornière temporelle et suite à la découverte inattendue par un collectionneur émérite d’une série inédite de photographies dévolues à l’histoire de ce prototype mécanique, à nul autre pareil, que se consacre ardemment Jean Artero dans cette étude historique pleine de révélations. Ainsi, c’est en cherchant dans des archives familiales encore jamais explorées, que Jean Artero a découvert, contre toute attente, une lettre attribuée à Julien Champagne. Une correspondance qui remettra sensiblement en perspective un aspect du mystère Fulcanelli. Celui de la Fraternité d’Héliopolis. On trouvera dans cette courte missive cette incroyable citation : « Quant à jouer un rôle quelconque dans le monde, à moins que ce soit par les ouvrages que je laisserai, et la Fraternité d’Héliopolis dont je suis le chef inconnu, l’âge et la santé ne me le permettent pas… ». Ce bel ouvrage richement illustré de photographies d’époque nous en apprend donc un peu plus sur la réalisation de ce prototype et, grâce à certaines traces photosensibles laissées par ce curieux traîneau à hélice, nous invite à revisiter, avec Jean Artero, certains méandres bien méconnus de la Belle Epoque…
« Me voici dans un traîneau actionné par une hélice d’hélicoptère ; avec moi l’inventeur, M. de Lesseps. » Jacques-Henri Lartigue
« L’Ailonive » ! Quel drôle de nom pour une drôle de machine… ! « Un traîneau à hélice » conçu pour se déplacer à grande vitesse sur les sentiers enneigés de haute montagne, réalisé par deux hommes de génie : Bertrand de Lesseps et Julien Champagne, assistés d’un jeune mécanicien, Henri Steineur. En son temps, le fameux « traîneau à hélice » fit l’admiration de tous puis, discrètement, retomba dans l’oubli. Eugène Canseliet est sans doute le premier à avoir abordé le sujet dès la seconde édition de ses « Deux logis alchimiques ». C’est de cette ornière temporelle et suite à la découverte inattendue par un collectionneur émérite d’une série inédite de photographies dévolues à l’histoire de ce prototype mécanique, à nul autre pareil, que se consacre ardemment Jean Artero dans cette étude historique pleine de révélations. Ainsi, c’est en cherchant dans des archives familiales encore jamais explorées, que Jean Artero a découvert, contre toute attente, une lettre attribuée à Julien Champagne. Une correspondance qui remettra sensiblement en perspective un aspect du mystère Fulcanelli. Celui de la Fraternité d’Héliopolis. On trouvera dans cette courte missive cette incroyable citation : « Quant à jouer un rôle quelconque dans le monde, à moins que ce soit par les ouvrages que je laisserai, et la Fraternité d’Héliopolis dont je suis le chef inconnu, l’âge et la santé ne me le permettent pas… ». Ce bel ouvrage richement illustré de photographies d’époque nous en apprend donc un peu plus sur la réalisation de ce prototype et, grâce à certaines traces photosensibles laissées par ce curieux traîneau à hélice, nous invite à revisiter, avec Jean Artero, certains méandres bien méconnus de la Belle Epoque…