La géométrie projective (appelée aussi « synthétique » en opposition à la géométrie analytique) a été développée par le Français Girard Desargues (1591-1661) ainsi que par son élève Blaise Pascal, puis au 19e siècle par Poncelet, Chasles, Klein, von Staudt et Cayley. Les physiciens modernes, Einstein en tête, ont privilégié l’outil que leur offrait la géométrie analytique. Or la géométrie synthétique, qui permet de construire un espace négatif (contre-espace) en polarité avec l’espace physique, ouvre d’étonnantes perspectives pour élargir notre conscience, explorer l’infini, et retrouver l’unité primordiale de l’univers. Au début du 20e siècle, Rudolf Steiner attira l’attention sur l’importance de cette nouvelle géométrie pour appréhender les forces de vie issues non pas de la matière pondérable, mais de la périphérie infinie de l’espace.
La géométrie projective (appelée aussi « synthétique » en opposition à la géométrie analytique) a été développée par le Français Girard Desargues (1591-1661) ainsi que par son élève Blaise Pascal, puis au 19e siècle par Poncelet, Chasles, Klein, von Staudt et Cayley. Les physiciens modernes, Einstein en tête, ont privilégié l’outil que leur offrait la géométrie analytique. Or la géométrie synthétique, qui permet de construire un espace négatif (contre-espace) en polarité avec l’espace physique, ouvre d’étonnantes perspectives pour élargir notre conscience, explorer l’infini, et retrouver l’unité primordiale de l’univers. Au début du 20e siècle, Rudolf Steiner attira l’attention sur l’importance de cette nouvelle géométrie pour appréhender les forces de vie issues non pas de la matière pondérable, mais de la périphérie infinie de l’espace.