Le monde est en crise, ce n’est pas nouveau. La nouveauté est que toutes les sociétés de la planète sont simultanément menacées. Tout ce qui était risque local est devenu risque global. Le champ des problèmes est large entre, d’une part, les disputes pour les biens élémentaires sur une terre limitée et polluée et, d’autre part, les désarrois de l’âme. C’est dire que se posent simultanément la question du maintien de notre existence et celle de son épanouissement. Et si l’engagement vers la plénitude de l’esprit était la clé de notre survie la plus pratique ? Nous pouvons très bien considérer en effet que le théâtre d’opération imposé par le système et où il nous domine, n’est pas le seul possible, et l’entraîner sur un autre champ, plus vaste, celui de la vie dans son universalité, où nous reprendrons confiance.
Le monde est en crise, ce n’est pas nouveau. La nouveauté est que toutes les sociétés de la planète sont simultanément menacées. Tout ce qui était risque local est devenu risque global. Le champ des problèmes est large entre, d’une part, les disputes pour les biens élémentaires sur une terre limitée et polluée et, d’autre part, les désarrois de l’âme. C’est dire que se posent simultanément la question du maintien de notre existence et celle de son épanouissement. Et si l’engagement vers la plénitude de l’esprit était la clé de notre survie la plus pratique ? Nous pouvons très bien considérer en effet que le théâtre d’opération imposé par le système et où il nous domine, n’est pas le seul possible, et l’entraîner sur un autre champ, plus vaste, celui de la vie dans son universalité, où nous reprendrons confiance.