Littéralement « mandala » signifie, cercle ou cercle magique bien que son dessin soit souvent beaucoup plus complexe et parfois contenu dans une enceinte carrée.
Dans son sens symbolique le plus large, le mandala est la représentation de la réalité ultime de l’univers, du Tout inscrit dans une forme circulaire. Alors, entrer en contemplation d’un mandala tibétain, c’est faire pénétrer en soi cet ordre de l’univers.
Réaliser un mandala, c’est recréer pour soi et en soi la vie et le sens de la vie en dynamisant ce principe organisateur du psychisme que Jung a nommé le Soi, archétype de l’orientation et du sens.
Réaliser un mandala n’est pas seulement dessiner et colorier. Il favorise l’exploration du monde intérieur en mobilisant ses émergences dans une direction donnée (le thème du mandala) en sollicitant les représentations qui vont se jeter dans la matrice.
Les études récentes en neurologie de la pédagogie ont montré que la pratique même du coloriage d’un mandala, au cours de tout apprentissage, s’adresse au cerveau dans sa globalité. Dans ce contexte, le Mandala, par sa structure même, à un effet d’apaisement, de centrage, et entraîne une restructuration cérébrale. Le rappel du centre, implicite à chaque moment du travail, unifie et rééquilibre.
Littéralement « mandala » signifie, cercle ou cercle magique bien que son dessin soit souvent beaucoup plus complexe et parfois contenu dans une enceinte carrée.
Dans son sens symbolique le plus large, le mandala est la représentation de la réalité ultime de l’univers, du Tout inscrit dans une forme circulaire. Alors, entrer en contemplation d’un mandala tibétain, c’est faire pénétrer en soi cet ordre de l’univers.
Réaliser un mandala, c’est recréer pour soi et en soi la vie et le sens de la vie en dynamisant ce principe organisateur du psychisme que Jung a nommé le Soi, archétype de l’orientation et du sens.
Réaliser un mandala n’est pas seulement dessiner et colorier. Il favorise l’exploration du monde intérieur en mobilisant ses émergences dans une direction donnée (le thème du mandala) en sollicitant les représentations qui vont se jeter dans la matrice.
Les études récentes en neurologie de la pédagogie ont montré que la pratique même du coloriage d’un mandala, au cours de tout apprentissage, s’adresse au cerveau dans sa globalité. Dans ce contexte, le Mandala, par sa structure même, à un effet d’apaisement, de centrage, et entraîne une restructuration cérébrale. Le rappel du centre, implicite à chaque moment du travail, unifie et rééquilibre.