
 
		Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François  Cheng est né d’échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à  devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie,  s’exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se  livrant comme il ne l’avait peut-être jamais fait, et transmettant une  parole à la fois humble et hardie. Il n’a pas la prétention de délivrer  un « message » sur l’après-vie, ni d’élaborer un discours dogmatique,  mais il témoigne d’une vision de la « vie ouverte ». Une vision en  mouvement ascendant qui renverse notre perception de l’existence  humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre  mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait  participer à une grande Aventure en devenir.
Jamais emphatique ni sentencieux, François Cheng donne à ces Cinq méditations sur la mort un timbre personnel qui confronte chacun à son humaine condition.

Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François  Cheng est né d’échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à  devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie,  s’exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se  livrant comme il ne l’avait peut-être jamais fait, et transmettant une  parole à la fois humble et hardie. Il n’a pas la prétention de délivrer  un « message » sur l’après-vie, ni d’élaborer un discours dogmatique,  mais il témoigne d’une vision de la « vie ouverte ». Une vision en  mouvement ascendant qui renverse notre perception de l’existence  humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre  mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait  participer à une grande Aventure en devenir.
Jamais emphatique ni sentencieux, François Cheng donne à ces Cinq méditations sur la mort un timbre personnel qui confronte chacun à son humaine condition.
