Hervé Pasqua offre ici la première traduction en français des deux dernières oeuvres de Nicolas de Cues (1401-1464), dernier des médiévaux et premier des modernes, auteur, entre autres chefs-d´oeuvre, de La docte Ignorance. Le Cusain est celui qui aur ...lire la suite
L’imagination est-elle vraiment une expression instable, imprévisible, anarchique du psychisme ? Sa créativité est-elle rebelle à toutes règles et rationalité ? Un large spectre de travaux (G. Bachelard, G. Durand, etc.) qui prennent l ...lire la suite
"D’après la traduction en français établie par Robert Arnauld d’Andilly et éditée en 1642
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Précédé d’un extrait du Port-Royal de Sainte-Beuve qui fait office d’avant-propos et dans lequel est apprécié l’importance de ce discours dans l’édification religieuse du ...lire la suite
"Depuis au moins Roger Bacon (1219-1292), l’alchimie, loin de se limiter à la recherche
de la transformation des métaux vils en or, présentait également un courant orienté vers la
prolongation de la vie: l’alchimie médicale. Au milieu du XIVe siècle (c. 1351-1352), le
mystique ...lire la suite
"« On a reproché à cette étude de n’être pas assez historique, de ne pas se replacer suffisamment au point de vue et au temps de Kant. Assurément, nous n’avons pas cru devoir en éliminer toute préoccupation critique ou dogmatique. Mais, alors que tant d’historiens ont profité du ce ...lire la suite
"Préface de Didier Kahn.
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Lorsque Mino Celsi publie en 1572 à Bâle, chez Pietro Perna, un important recueil de
textes alchimiques d’origine médiévale et en partie arabe: Artis chemicae principes,
Avicenna atque Geber, il est loin de s’agir d’une publication fortui ...lire la suite
"Ce petit texte peu connu publié en 1880, constitue un florilège de ces mots indisciplinés, traversés par le temps et l’usage, modifiés dans leurs sens originels parfois jusqu’à l’absurde, mais parfois aussi jusqu’à la plus inattendue des poésies. Émile Littré les traque, les dà ...lire la suite
"Préface Olivier Kahn.
Sous le nom de Raymond Lulle (1235-1315), un vaste corpus de textes apocryphes
alchimiques se constitua à partir du XIVe siècle et ne cessa de se développer jusqu’au
XVIIe, voire au XVIIIe siècle. Lulle lui-même n’avait que mépris pour l’alchimie; son ...lire la suite