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PSEUDO-LULLE Raymond / ALBERT LE GRAND DE SECRETIS NATURÆ SIVE DE QUINTA ESSENTIA / DE MINERABILIS (1541). Texte en latin --- épuisé Librairie Eklectic

DE SECRETIS NATURÆ SIVE DE QUINTA ESSENTIA / DE MINERABILIS (1541). Texte en latin --- épuisé

Auteur : PSEUDO-LULLE Raymond / ALBERT LE GRAND
Editeur : MANUCIUS
Nombre de pages : 400
Date de parution : 01/01/2004
Forme : Livre ISBN : 2845780346
MANUCIUS04

EPUISE

"Préface Olivier Kahn.
Sous le nom de Raymond Lulle (1235-1315), un vaste corpus de textes apocryphes
alchimiques se constitua à partir du XIVe siècle et ne cessa de se développer jusqu’au
XVIIe, voire au XVIIIe siècle. Lulle lui-même n’avait que mépris pour l’alchimie; son attitude
paraît même s’être encore durcie à l’encontre de cette science au fil des ans. Mais
dans le sillage de son prodigieux succès en tant que philosophe, des lullistes anonymes se
mirent à composer sous son nom un nombre croissant de traités d’alchimie, dont le premier,
sans doute, et l’un des plus célèbres, fut le Testamentum.
C’est à partir de ce traité qu’allait se constituer, dans la seconde moitié du XIVe siècle,
un autre texte majeur de la mouvance pseudo-lullienne, le De secretis naturae seu de
quinta essentia.
Le De mineralibus d’Albert le Grand (1206-1280) est le maître-livre de la minéralogie
médiévale, qui contient nombre de développements sur l’alchimie et cite notamment la
célèbre Table d’émeraude. Avant de faire couple avec le De secretis naturae pseudo-lullien,
l’ouvrage d’Albert avait déjà connu six autres éditions; il demeure l’un des témoins majeurs
de l’alchimie latine du Moyen Âge."


"Préface Olivier Kahn.
Sous le nom de Raymond Lulle (1235-1315), un vaste corpus de textes apocryphes
alchimiques se constitua à partir du XIVe siècle et ne cessa de se développer jusqu’au
XVIIe, voire au XVIIIe siècle. Lulle lui-même n’avait que mépris pour l’alchimie; son attitude
paraît même s’être encore durcie à l’encontre de cette science au fil des ans. Mais
dans le sillage de son prodigieux succès en tant que philosophe, des lullistes anonymes se
mirent à composer sous son nom un nombre croissant de traités d’alchimie, dont le premier,
sans doute, et l’un des plus célèbres, fut le Testamentum.
C’est à partir de ce traité qu’allait se constituer, dans la seconde moitié du XIVe siècle,
un autre texte majeur de la mouvance pseudo-lullienne, le De secretis naturae seu de
quinta essentia.
Le De mineralibus d’Albert le Grand (1206-1280) est le maître-livre de la minéralogie
médiévale, qui contient nombre de développements sur l’alchimie et cite notamment la
célèbre Table d’émeraude. Avant de faire couple avec le De secretis naturae pseudo-lullien,
l’ouvrage d’Albert avait déjà connu six autres éditions; il demeure l’un des témoins majeurs
de l’alchimie latine du Moyen Âge."