Depuis des mois, la Franc-maçonnerie française traverse une des plus graves crises de son histoire contemporaine.
Sont remis en cause les accords de reconnaissance entre les principales obédiences. Le paysage maçonnique français est en décomposition. Cette problématique de «régularité» par rapport à la Grande Loge Unie d’Angleterre cache, en fait, des problèmes autrement plus graves : crise d’identité, crise de créativité, crise de légitimité, crise de représentativité.
L’utopie qui guide les travaux individuels et collectifs des loges n’est plus relayée par les «états-majors» éphémères où passions, pulsions, course aux cordons dans les jeux stériles d’un pouvoir virtuel et frelaté font rage, et où l’on importe dans les obédiences les pratiques les plus viles dans une réplique profane du monde extérieur. Alors même que, dans leur atelier, sœurs et frères, au nom de leur idéal de fraternité, se reconnaissent comme tels et se reçoivent, leurs éphémères représentants, au nom de cette même fraternité et sous couvert de «réunir ce qui est épars» discriminent, divisent et excluent. Le symbole semble devenu diabole...
Trois grands-maîtres des obédiences maçonniques libérales françaises , ayant en leur temps réussi l’union dans la diversité, dans le respect de leur identité respective. Ils lancent, ensemble un vibrant appel pour une franc-maçonnerie qui retrouve ses origines, ses valeurs ses traditions , pour que les appareils des obédiences se mettent au service des sœurs et des frères, pour la création d’un espace maçonnique français où chaque obédience sera reconnue à égalité.
Indignés par l’image déplorable que donne la franc-maçonnerie relayée par des médias en quête de «scandales» ils appellent à un sursaut des consciences, lucide, confiant, fraternel.
Depuis des mois, la Franc-maçonnerie française traverse une des plus graves crises de son histoire contemporaine.
Sont remis en cause les accords de reconnaissance entre les principales obédiences. Le paysage maçonnique français est en décomposition. Cette problématique de «régularité» par rapport à la Grande Loge Unie d’Angleterre cache, en fait, des problèmes autrement plus graves : crise d’identité, crise de créativité, crise de légitimité, crise de représentativité.
L’utopie qui guide les travaux individuels et collectifs des loges n’est plus relayée par les «états-majors» éphémères où passions, pulsions, course aux cordons dans les jeux stériles d’un pouvoir virtuel et frelaté font rage, et où l’on importe dans les obédiences les pratiques les plus viles dans une réplique profane du monde extérieur. Alors même que, dans leur atelier, sœurs et frères, au nom de leur idéal de fraternité, se reconnaissent comme tels et se reçoivent, leurs éphémères représentants, au nom de cette même fraternité et sous couvert de «réunir ce qui est épars» discriminent, divisent et excluent. Le symbole semble devenu diabole...
Trois grands-maîtres des obédiences maçonniques libérales françaises , ayant en leur temps réussi l’union dans la diversité, dans le respect de leur identité respective. Ils lancent, ensemble un vibrant appel pour une franc-maçonnerie qui retrouve ses origines, ses valeurs ses traditions , pour que les appareils des obédiences se mettent au service des sœurs et des frères, pour la création d’un espace maçonnique français où chaque obédience sera reconnue à égalité.
Indignés par l’image déplorable que donne la franc-maçonnerie relayée par des médias en quête de «scandales» ils appellent à un sursaut des consciences, lucide, confiant, fraternel.