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Anonyme Bai Zheng Fu (Prose de cent maladies). Texte d’acupuncture paru au 16ème siècle, traduit et annoté par Lin Shi Shan Librairie Eklectic

Bai Zheng Fu (Prose de cent maladies). Texte d’acupuncture paru au 16ème siècle, traduit et annoté par Lin Shi Shan

Auteur : Anonyme
Editeur : INSTITUT YIN-YANG
Nombre de pages : 305
Date de parution : 01/03/2010
Forme : Livre ISBN : 9782910589394
YINYANG25

NEUF habituellement en stock
Prix : 42.00€

Paru au 16ème siècle et d’un auteur inconnu, le « Bai Zheng Fu » (Prose de cent maladies) fut l’un des plus importants des « Zhen Jiu Ge Fu » (littéralement « chants et proses d’acupuncture-moxibustion ») qui constituent une littérature acupuncturale classique particulière. Des acupuncteurs d’autrefois nous les ont légués pour transmettre l’essentiel de leurs acquis théoriques, thérapeutiques et pratiques.
Contenant seulement 1006 caractères, le « Bai Zheng Fu » apporte un traitement pour 98 maladies et symptômes, avec 157 points différents, soit 67,6 % de la totalité des points des Méridiens. La plupart des maladies et symptômes sont traités avec deux points (couples de points) et 18 sont traités avec un seul point. Autrement dit, l’auteur de ce texte n’emploie pas que les points les plus connus ou les plus souvent utilisés mais aussi des points moins connus et moins utilisés. Il faut souligner que parmi les 157 points mentionnés dans ce texte, 104 font partie des « Te Ding Xue » (points spécifiques) comprenant les points Shu antiques, les point de jonction-croisement (Jian Hui Xue), les points Shu dorsaux, Mu, Xi, Luo etc. Les points sont choisis en fonction de l’étiologie comme en témoigne le paragraphe n° 98 de ce texte : « Il faut d’abord examiner à fond les causes des maladies avant d’attaquer les points. ». Cependant, certains traitements y sont surprenants. Par exemple, pour traiter les prurits, l’auteur emploie Zhi Yin (67 V.) et Wu Yi (15 E.) et pour traiter les palpitations : Yang Jiao (35 V.B.) et Jie Xi (41 E.)
Le présent ouvrage ne se contente pas d’apporter uniquement la traduction intégrale du « Bai Zheng Fu » mais également une « récapitulation » du texte qui est, en quelque sorte, un résumé du texte original apportant de surcroît des explications sur les maladies, les symptômes et les points choisis (cf. l’extrait de ce prospectus). Il faut savoir qu’on ne trouve aucune explication dans le texte original.
De nos jours, nombreux sont les acupuncteurs chinois qui s’intéressent à ce texte, cherchent à l’analyser et appliquent de façon intelligente et judicieuse les traitements rapportés par le texte, comme en témoignent les onze articles rassemblés dans la troisième partie de cet ouvrage.


Paru au 16ème siècle et d’un auteur inconnu, le « Bai Zheng Fu » (Prose de cent maladies) fut l’un des plus importants des « Zhen Jiu Ge Fu » (littéralement « chants et proses d’acupuncture-moxibustion ») qui constituent une littérature acupuncturale classique particulière. Des acupuncteurs d’autrefois nous les ont légués pour transmettre l’essentiel de leurs acquis théoriques, thérapeutiques et pratiques.
Contenant seulement 1006 caractères, le « Bai Zheng Fu » apporte un traitement pour 98 maladies et symptômes, avec 157 points différents, soit 67,6 % de la totalité des points des Méridiens. La plupart des maladies et symptômes sont traités avec deux points (couples de points) et 18 sont traités avec un seul point. Autrement dit, l’auteur de ce texte n’emploie pas que les points les plus connus ou les plus souvent utilisés mais aussi des points moins connus et moins utilisés. Il faut souligner que parmi les 157 points mentionnés dans ce texte, 104 font partie des « Te Ding Xue » (points spécifiques) comprenant les points Shu antiques, les point de jonction-croisement (Jian Hui Xue), les points Shu dorsaux, Mu, Xi, Luo etc. Les points sont choisis en fonction de l’étiologie comme en témoigne le paragraphe n° 98 de ce texte : « Il faut d’abord examiner à fond les causes des maladies avant d’attaquer les points. ». Cependant, certains traitements y sont surprenants. Par exemple, pour traiter les prurits, l’auteur emploie Zhi Yin (67 V.) et Wu Yi (15 E.) et pour traiter les palpitations : Yang Jiao (35 V.B.) et Jie Xi (41 E.)
Le présent ouvrage ne se contente pas d’apporter uniquement la traduction intégrale du « Bai Zheng Fu » mais également une « récapitulation » du texte qui est, en quelque sorte, un résumé du texte original apportant de surcroît des explications sur les maladies, les symptômes et les points choisis (cf. l’extrait de ce prospectus). Il faut savoir qu’on ne trouve aucune explication dans le texte original.
De nos jours, nombreux sont les acupuncteurs chinois qui s’intéressent à ce texte, cherchent à l’analyser et appliquent de façon intelligente et judicieuse les traitements rapportés par le texte, comme en témoignent les onze articles rassemblés dans la troisième partie de cet ouvrage.