Dürer, en toile de fond à son énigmatique chef-d’œuvre, a buriné un paysage de rivage océanique. L’onde, en toute son étendue, est calme. Quelques nefs sont amarrées à l’abri d’une baie ; un port, à proximité, se blottit au milieu des arbres. Il est évident, que nous nous trouvons devant une illustration du symbolisme universel de la navigation qui, dans les ordres microcosmique et macrocosmique, se rapporte à la traversée du «courant des formes» et à l’atteinte, soit du centre d’un état déterminé, soit du centre ultime qui, par delà tous les mondes – ou états limités d’existence –, est l’Identité suprême de tous êtres et de toutes choses.
Dürer, en toile de fond à son énigmatique chef-d’œuvre, a buriné un paysage de rivage océanique. L’onde, en toute son étendue, est calme. Quelques nefs sont amarrées à l’abri d’une baie ; un port, à proximité, se blottit au milieu des arbres. Il est évident, que nous nous trouvons devant une illustration du symbolisme universel de la navigation qui, dans les ordres microcosmique et macrocosmique, se rapporte à la traversée du «courant des formes» et à l’atteinte, soit du centre d’un état déterminé, soit du centre ultime qui, par delà tous les mondes – ou états limités d’existence –, est l’Identité suprême de tous êtres et de toutes choses.