
		L’histoire nous a légué d’innombrables énigmes, mystères et réalités  insolites : l’Atlantide, les "pierres du ciel", les possessions  démoniaques, la sorcellerie, la lycanthropie, le vampirisme, les enfants  sauvages, les apparitions extraordinaires, les stigmates et corps à  prodige, les extases mystiques, etc. L’anthropologie ne peut pas traiter  ces données que l’on rencontre dans d’innombrables cultures comme de  simples résurgences folkloriques, superstitions ou hallucinations. Elle  doit au contraire s’interroger sur leur teneur ontologique qui n’est pas  simplement du registre de l’irrationnel ou de la fiction, mais bien du  registre de la constitution intersubjective des mondes vécus ordinaires.
Cet  ouvrage illustre le complémentarisme des démarches de  l’ethnopsychanalyse, de la psychanalyse et de la phénoménologie pour  restituer la complexité de l’étrange. De nombreuses observations et  découvertes attestent de l’intrication étroite entre "l’imaginaire" (les  croyances, les mythes, les légendes) et le "réel" (les connaissances  scientifiques, les réalités attestées, les faits historiques avérés). L’Anthropologie  de l’étrange est donc l’étude critique de trois quêtes  métaphysiques fondamentales : l’origine (de la vie, de l’homme), le  devenir (de l’humain, de la planète, du cosmos), la pluralité (des  mondes habités, des mondes vécus, des différents types d’humains ou  d’humanoïdes).
Jean-Marie Brohm, docteur d’État  ès lettres et sciences humaines, est professeur de sociologie à  l’université de Montpellier III-Paul Valéry et membre de l’Institut  d’esthétique des arts et technologies. Directeur de publication de la  revue Prétentaine et de la collection du même nom aux éditions  Beauchesne, il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la sociologie et  l’histoire du sport et de l’olympisme, ainsi que sur la philosophie du  corps et l’anthropologie de la sexualité.

L’histoire nous a légué d’innombrables énigmes, mystères et réalités  insolites : l’Atlantide, les "pierres du ciel", les possessions  démoniaques, la sorcellerie, la lycanthropie, le vampirisme, les enfants  sauvages, les apparitions extraordinaires, les stigmates et corps à  prodige, les extases mystiques, etc. L’anthropologie ne peut pas traiter  ces données que l’on rencontre dans d’innombrables cultures comme de  simples résurgences folkloriques, superstitions ou hallucinations. Elle  doit au contraire s’interroger sur leur teneur ontologique qui n’est pas  simplement du registre de l’irrationnel ou de la fiction, mais bien du  registre de la constitution intersubjective des mondes vécus ordinaires.
Cet  ouvrage illustre le complémentarisme des démarches de  l’ethnopsychanalyse, de la psychanalyse et de la phénoménologie pour  restituer la complexité de l’étrange. De nombreuses observations et  découvertes attestent de l’intrication étroite entre "l’imaginaire" (les  croyances, les mythes, les légendes) et le "réel" (les connaissances  scientifiques, les réalités attestées, les faits historiques avérés). L’Anthropologie  de l’étrange est donc l’étude critique de trois quêtes  métaphysiques fondamentales : l’origine (de la vie, de l’homme), le  devenir (de l’humain, de la planète, du cosmos), la pluralité (des  mondes habités, des mondes vécus, des différents types d’humains ou  d’humanoïdes).
Jean-Marie Brohm, docteur d’État  ès lettres et sciences humaines, est professeur de sociologie à  l’université de Montpellier III-Paul Valéry et membre de l’Institut  d’esthétique des arts et technologies. Directeur de publication de la  revue Prétentaine et de la collection du même nom aux éditions  Beauchesne, il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la sociologie et  l’histoire du sport et de l’olympisme, ainsi que sur la philosophie du  corps et l’anthropologie de la sexualité.
