La composition et la formation de notre Terre, et surtout le fait qu’elle puisse abriter la vie reste un mystère. Au fur et à mesure de leurs découvertes, les scientifiques s’aperçoivent que les roches les plus anciennes portent déjà des traces de vie bactérienne. On en vient de plus en plus à penser que la Terre devait être « vivante » bien plus tôt qu’on ne l’avait pensé, et que les substances mortes qui la composent se sont déposées en elle comme le bois et l’écorce dans le tronc d’un arbre, ou la coquille autour d’un escargot. Le monde mort des minéraux serait ainsi issu d’un monde vivant, et non l’inverse.
Le livre de Dankmar Bosse explore cette piste à partir de trois points de vue, celui de Goethe, celui de la science moderne, et celui de Rudolf Steiner. La première partie présente les études de Goethe sur la géologie, qui attirent l’attention sur des aspects d’une géologie future, approchant une Terre vivante.
La deuxième partie développe brièvement certains phénomènes fondamentaux de l’apparition des minéraux et de l’histoire de la Terre tels que les présente la géologie la plus récente. Ils décrivent l’évolution d’une sphère de vie liquide gazeuse et pénétrée de chaleur qui contenaient, dans les premiers temps de l’évolution terrestre, toutes les substances des minéraux et des êtres vivants qui peuplent aujourd’hui notre planète. La troisième partie éclaire ces mêmes développements d’un tout autre point de vue, celui que Rudolf Steiner a développé dans ses recherches occultes. En reliant ces trois sources, on parvient à une nouvelle compréhension de la Terre en tant qu’organisme vivant qui évolue, depuis l’origine, en même temps que l’être humain.
La composition et la formation de notre Terre, et surtout le fait qu’elle puisse abriter la vie reste un mystère. Au fur et à mesure de leurs découvertes, les scientifiques s’aperçoivent que les roches les plus anciennes portent déjà des traces de vie bactérienne. On en vient de plus en plus à penser que la Terre devait être « vivante » bien plus tôt qu’on ne l’avait pensé, et que les substances mortes qui la composent se sont déposées en elle comme le bois et l’écorce dans le tronc d’un arbre, ou la coquille autour d’un escargot. Le monde mort des minéraux serait ainsi issu d’un monde vivant, et non l’inverse.
Le livre de Dankmar Bosse explore cette piste à partir de trois points de vue, celui de Goethe, celui de la science moderne, et celui de Rudolf Steiner. La première partie présente les études de Goethe sur la géologie, qui attirent l’attention sur des aspects d’une géologie future, approchant une Terre vivante.
La deuxième partie développe brièvement certains phénomènes fondamentaux de l’apparition des minéraux et de l’histoire de la Terre tels que les présente la géologie la plus récente. Ils décrivent l’évolution d’une sphère de vie liquide gazeuse et pénétrée de chaleur qui contenaient, dans les premiers temps de l’évolution terrestre, toutes les substances des minéraux et des êtres vivants qui peuplent aujourd’hui notre planète. La troisième partie éclaire ces mêmes développements d’un tout autre point de vue, celui que Rudolf Steiner a développé dans ses recherches occultes. En reliant ces trois sources, on parvient à une nouvelle compréhension de la Terre en tant qu’organisme vivant qui évolue, depuis l’origine, en même temps que l’être humain.