En tout temps, le propos de toute poétique lucide et conséquente a été de créer un rapport substantiel entre l´être humain et la Terre. A une époque où l´on parle de sauver la planète, où les discours écologistes abondent, manque, de toute évidence (mais qui sait voir ? ) une parole à la fois profonde, intellectuellement et culturellement fondée, et spacieuse, c´est-à-dire faisant respirer l´esprit.
Les livres publiés par Kenneth White au Mercure de France depuis la fin du XX ? siècle - Les Rives du silence, Limites et Marges, Le Passage extérieur, Les Archives du littoral - vont tous dans ce sens. C´est dans ce Mémorial de la terre océane qu´ils trouvent leur apogée.
En tout temps, le propos de toute poétique lucide et conséquente a été de créer un rapport substantiel entre l´être humain et la Terre. A une époque où l´on parle de sauver la planète, où les discours écologistes abondent, manque, de toute évidence (mais qui sait voir ? ) une parole à la fois profonde, intellectuellement et culturellement fondée, et spacieuse, c´est-à-dire faisant respirer l´esprit.
Les livres publiés par Kenneth White au Mercure de France depuis la fin du XX ? siècle - Les Rives du silence, Limites et Marges, Le Passage extérieur, Les Archives du littoral - vont tous dans ce sens. C´est dans ce Mémorial de la terre océane qu´ils trouvent leur apogée.