Élément central du Mahâbhârata, connu pour être la plus grande épopée de la mythologie hindoue, la Bhagavad-Gîtâ (« Chant du Bienheureux ») est un des écrits fondamentaux de l’Hindouisme qui s’inscrit dans la tradition héroïque indo-européenne.
Il s’agit d’un dialogue dans lequel le Seigneur Krishna, 8e avatar de Vishnou, tend à dissiper le doute chez le kshatriya Arjuna au moment d’une bataille qui risque de faire nombre de morts parmi ceux que ce dernier aime.
Composé de 18 chapitres et vraisemblablement rédigé entre les Ve et IIe siècles av. J.-C., l’intérêt capital de ce texte sacré tient du fait qu’il invite à dépasser le brahmanisme sans le répudier pour autant.
Au-delà de toutes les sensibilités spirituelles, la Bhagavad-Gîtâ nous enseigne avant tout la dévotion et le détachement pour lesquels le verset II.38 semble parfaitement convenir : « Tiens pour égaux plaisir et peine, gain et perte, et sois tout entier à la bataille : ainsi tu éviteras le péché . »
Élément central du Mahâbhârata, connu pour être la plus grande épopée de la mythologie hindoue, la Bhagavad-Gîtâ (« Chant du Bienheureux ») est un des écrits fondamentaux de l’Hindouisme qui s’inscrit dans la tradition héroïque indo-européenne.
Il s’agit d’un dialogue dans lequel le Seigneur Krishna, 8e avatar de Vishnou, tend à dissiper le doute chez le kshatriya Arjuna au moment d’une bataille qui risque de faire nombre de morts parmi ceux que ce dernier aime.
Composé de 18 chapitres et vraisemblablement rédigé entre les Ve et IIe siècles av. J.-C., l’intérêt capital de ce texte sacré tient du fait qu’il invite à dépasser le brahmanisme sans le répudier pour autant.
Au-delà de toutes les sensibilités spirituelles, la Bhagavad-Gîtâ nous enseigne avant tout la dévotion et le détachement pour lesquels le verset II.38 semble parfaitement convenir : « Tiens pour égaux plaisir et peine, gain et perte, et sois tout entier à la bataille : ainsi tu éviteras le péché . »