"En l’espace de quelques années, Fabienne Verdier s’est imposée comme une artiste de premier plan, qui excelle à mettre en oeuvre des processus de création ancestraux issus de la Chine ancienne, avec des techniques et dans un esprit pleinement moderne. Ses tableaux figurent désormais dans quelques-unes des collections d’art contemporain les plus importantes. Après l’immense succès de son récit Passagère du silence, qui décrivait ses dix ans d’initiation artistique et spirituelle auprès d’un maître chinois, voici qu’elle nous invite à explorer son univers visuel si singulier, comme elle l’avait fait déjà avec son premier livre d’art, L’Unique trait de pinceau. Mais ici, outre ses dernières fulgurances picturales, on découvre aussi l’intimité de sa pratique quotidienne et de sa vie méditative. Qu’il s’agisse de son nouvel atelier, de son jardin, de ses séances de travail et de recueillement, de ses carnets d’atelier, ces incursions nous dévoilent une femme d’exception, tout entière habitée par une aspiration à l’universel.
Trois personnalités éclairent ce cheminement de leur talent :
l’écrivain Charles Juliet, qui consacre à Fabienne Verdier des pages aussi belles que celles que Samuel Beckett ou Bram Van Velde lui avaient inspirées ; la photographe française Dolorès Marat, dont la sensibilité lui permet de saisir le geste instantané et la richesse du silence ; enfin le grand photographe japonais Naoya Hatakeyama, dont l’exactitude du regard n’est pas sans faire écho à la rectitude spirituelle de Fabienne Verdier."
"En l’espace de quelques années, Fabienne Verdier s’est imposée comme une artiste de premier plan, qui excelle à mettre en oeuvre des processus de création ancestraux issus de la Chine ancienne, avec des techniques et dans un esprit pleinement moderne. Ses tableaux figurent désormais dans quelques-unes des collections d’art contemporain les plus importantes. Après l’immense succès de son récit Passagère du silence, qui décrivait ses dix ans d’initiation artistique et spirituelle auprès d’un maître chinois, voici qu’elle nous invite à explorer son univers visuel si singulier, comme elle l’avait fait déjà avec son premier livre d’art, L’Unique trait de pinceau. Mais ici, outre ses dernières fulgurances picturales, on découvre aussi l’intimité de sa pratique quotidienne et de sa vie méditative. Qu’il s’agisse de son nouvel atelier, de son jardin, de ses séances de travail et de recueillement, de ses carnets d’atelier, ces incursions nous dévoilent une femme d’exception, tout entière habitée par une aspiration à l’universel.
Trois personnalités éclairent ce cheminement de leur talent :
l’écrivain Charles Juliet, qui consacre à Fabienne Verdier des pages aussi belles que celles que Samuel Beckett ou Bram Van Velde lui avaient inspirées ; la photographe française Dolorès Marat, dont la sensibilité lui permet de saisir le geste instantané et la richesse du silence ; enfin le grand photographe japonais Naoya Hatakeyama, dont l’exactitude du regard n’est pas sans faire écho à la rectitude spirituelle de Fabienne Verdier."