Depuis de nombreuses décennies, l’œuvre du théologien Maurice Bellet n’a cessé de déconstruire – avec les acquis entre autres de la psychanalyse – le « Dieu pervers » transmis par un certain christianisme, pour ouvrir ses lecteurs à d’autres horizons. Le présent volume réunit deux essais qui illustrent la radicalité de sa pensée.
DansDieu, personne ne l’a jamais vu, il aborde de front le paradoxe de tout discours théologique : « Si Dieu est Dieu, il n´est rien de ce que nous mettons à sa place, y compris sous son nom… Autrement dit, si Dieu est Dieu, il n’est pas Dieu. Il est beaucoup plus haut – et beaucoup plus bas. »
La question au cœur de l’Essai sur la violence absolue (initialement paru sous le titre Je ne suis pas venu apporter la paix… ) est tout aussi cruciale : en quoi l’Évangile, qui est tout sauf iréniste, constitue-t-il une réponse adéquate à la violence absolue, à ce fond d’inhumanité radicale, de nihilisme moral qui ne concerne pas seulement les nazis, mais qui en réalité nous habite tous ?
Les interrogations posées par ces deux courts essais sans concessions seront à coup sûr incontournables pour le christianisme du XXIe siècle.
Depuis de nombreuses décennies, l’œuvre du théologien Maurice Bellet n’a cessé de déconstruire – avec les acquis entre autres de la psychanalyse – le « Dieu pervers » transmis par un certain christianisme, pour ouvrir ses lecteurs à d’autres horizons. Le présent volume réunit deux essais qui illustrent la radicalité de sa pensée.
DansDieu, personne ne l’a jamais vu, il aborde de front le paradoxe de tout discours théologique : « Si Dieu est Dieu, il n´est rien de ce que nous mettons à sa place, y compris sous son nom… Autrement dit, si Dieu est Dieu, il n’est pas Dieu. Il est beaucoup plus haut – et beaucoup plus bas. »
La question au cœur de l’Essai sur la violence absolue (initialement paru sous le titre Je ne suis pas venu apporter la paix… ) est tout aussi cruciale : en quoi l’Évangile, qui est tout sauf iréniste, constitue-t-il une réponse adéquate à la violence absolue, à ce fond d’inhumanité radicale, de nihilisme moral qui ne concerne pas seulement les nazis, mais qui en réalité nous habite tous ?
Les interrogations posées par ces deux courts essais sans concessions seront à coup sûr incontournables pour le christianisme du XXIe siècle.