"Même si le mal n’est rien en ce sens qu’il n’est qu’un défaut d’être, il mérite d’être pensé, non seulement à partir de la tripartition leibnizienne du mal physique, du mal moral et du mal métaphysique, mais encore à partir de la dichotomie, d’origine aristotélicienne, entre négation et privation. La distinction entre faute, péché et péché originel, permet en outre de montrer comment la philosophie moderne intègre, sur un tel sujet, les apports décisifs de la théologie chrétienne.
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Hélène Bouchilloux est professeur à l’Université de Nancy 2"
"Même si le mal n’est rien en ce sens qu’il n’est qu’un défaut d’être, il mérite d’être pensé, non seulement à partir de la tripartition leibnizienne du mal physique, du mal moral et du mal métaphysique, mais encore à partir de la dichotomie, d’origine aristotélicienne, entre négation et privation. La distinction entre faute, péché et péché originel, permet en outre de montrer comment la philosophie moderne intègre, sur un tel sujet, les apports décisifs de la théologie chrétienne.
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Hélène Bouchilloux est professeur à l’Université de Nancy 2"