Dès les temps primitifs, l´humanité a été en quête de Dieu, mais les idoles païennes l´en ont détournée. Pourtant, Dieu avait parlé à Adam avant Abraham et Moïse. Dans une première partie, Alain Pascal développe l´hypothèse des deux Traditions primordiales possibles, l´adamique et le Tao chinois, et confronte les traditions cosmiques à la Genèse. La deuxième partie est consacrée à l´histoire secrète de la philosophie grecque pour montrer en quoi l´échec grec à atteindre la Raison anticipe l´échec de la philosophie moderne. En effet, les philosophes grecs n´ont pu se libérer de la mythologie et les philosophes modernes y sont retombés parce qu´ils ont fait table rase de l´Intelligence du christianisme, la seule vraie Religion, car révélée par le Fils de Dieu. Comme dans ses précédents ouvrages, Alain Pascal dénonce l´imposture de la philosophie moderne fondée sur une mythologie destructrice de la civilisation, tandis que les mythes de l´Antiquité païenne étaient fondateurs. Ainsi, le moderne qui a nié Dieu est inférieur au primitif qui aspirait à la connaissance du Créateur.
Dès les temps primitifs, l´humanité a été en quête de Dieu, mais les idoles païennes l´en ont détournée. Pourtant, Dieu avait parlé à Adam avant Abraham et Moïse. Dans une première partie, Alain Pascal développe l´hypothèse des deux Traditions primordiales possibles, l´adamique et le Tao chinois, et confronte les traditions cosmiques à la Genèse. La deuxième partie est consacrée à l´histoire secrète de la philosophie grecque pour montrer en quoi l´échec grec à atteindre la Raison anticipe l´échec de la philosophie moderne. En effet, les philosophes grecs n´ont pu se libérer de la mythologie et les philosophes modernes y sont retombés parce qu´ils ont fait table rase de l´Intelligence du christianisme, la seule vraie Religion, car révélée par le Fils de Dieu. Comme dans ses précédents ouvrages, Alain Pascal dénonce l´imposture de la philosophie moderne fondée sur une mythologie destructrice de la civilisation, tandis que les mythes de l´Antiquité païenne étaient fondateurs. Ainsi, le moderne qui a nié Dieu est inférieur au primitif qui aspirait à la connaissance du Créateur.