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SELG Peter Le travail de chacun et l´esprit de la communauté. Rudolf Steiner et la loi sociale fondamentale Librairie Eklectic

Le travail de chacun et l´esprit de la communauté. Rudolf Steiner et la loi sociale fondamentale

Auteur : SELG Peter
Editeur : TRIADES
Nombre de pages : 145
Date de parution : 21/12/2012
Forme : Livre ISBN : 9782852483538
TR197

NEUF habituellement en stock
Prix : 14.00€

« L’esclave grec accomplissait son travail sous la contrainte d’un maître, le travailleur d’aujourd’hui le fait sous la contrainte du salaire, mais dans l’avenir, il n’y aura plus que la liberté du travail. Le travail et le salaire seront deux choses totalement séparées. C’est ce qui assurera la santé des rapports sociaux à l’avenir. Vous pouvez déjà le voir aujourd’hui. »
Rudolf Steiner, Berlin,1905

Dans ce livre, Peter Selg décrit et commente les déclarations que Rudolf Steiner fit au début du 20e siècle à propos du travail et du salaire dans le cadre de son action pour la réforme du système social. À l’époque, ces idées littéralement «  révolutionnaires  » ne furent pas comprises. Aujourd’hui, elles apportent une clé précieuse pour redon­ner au travail humain toute sa dignité. Il s’agit que l’on cesse de traiter le travail humain comme une marchandise que l’on peut acheter et vendre, et que l’on découvre sa véritable nature  : un don que chacun fait aux autres, en toute liberté.

« Tant que chacun ne pourra pas trouver, à partir de ses impulsions les plus profondes, ce qui l’incite à agir, tant que chacun ne sera pas en mesure de travailler par amour pour autrui, il ne sera pas possible de créer des impulsions justes pour une évolution du futur qui aille dans le sens du bonheur des hommes ».

SOMMAIRE

- Rudolf Steiner, Berlin et le début du 20e siècle
- La formulation de la « loi sociale fondamentale » en 1905
- La proposition de tri-articulation de l’organisme social en 1919
- L’individu et la communauté


« L’esclave grec accomplissait son travail sous la contrainte d’un maître, le travailleur d’aujourd’hui le fait sous la contrainte du salaire, mais dans l’avenir, il n’y aura plus que la liberté du travail. Le travail et le salaire seront deux choses totalement séparées. C’est ce qui assurera la santé des rapports sociaux à l’avenir. Vous pouvez déjà le voir aujourd’hui. »
Rudolf Steiner, Berlin,1905

Dans ce livre, Peter Selg décrit et commente les déclarations que Rudolf Steiner fit au début du 20e siècle à propos du travail et du salaire dans le cadre de son action pour la réforme du système social. À l’époque, ces idées littéralement «  révolutionnaires  » ne furent pas comprises. Aujourd’hui, elles apportent une clé précieuse pour redon­ner au travail humain toute sa dignité. Il s’agit que l’on cesse de traiter le travail humain comme une marchandise que l’on peut acheter et vendre, et que l’on découvre sa véritable nature  : un don que chacun fait aux autres, en toute liberté.

« Tant que chacun ne pourra pas trouver, à partir de ses impulsions les plus profondes, ce qui l’incite à agir, tant que chacun ne sera pas en mesure de travailler par amour pour autrui, il ne sera pas possible de créer des impulsions justes pour une évolution du futur qui aille dans le sens du bonheur des hommes ».

SOMMAIRE

- Rudolf Steiner, Berlin et le début du 20e siècle
- La formulation de la « loi sociale fondamentale » en 1905
- La proposition de tri-articulation de l’organisme social en 1919
- L’individu et la communauté