Précédemment paru sous le titre L’islam face à la mort de Dieu, ce livre est ici augmenté d’un chapitre inédit consacré à la délicate question de l’héritage politique de Iqbal.
Figure spirituelle majeure de l’Islam du sous-continent indien, Mohammed Iqbal (1873-1938), juriste et poète, a souvent été surnommé le « Luther de l’islam ». Dès 1905, il donne à la religion de Mahomet la tâche de se confronter à l’annonce occidentale de la « mort de Dieu » : aux croyants, il demande de prendre acte du fait que Dieu s’est éclipsé de notre monde et que personne ne peut plus s’autoriser de lui ; aux incroyants, il propose un chemin pour sortir de l’angoisse de la perte de sens. La voie du salut céleste et celle du bonheur terrestre peuvent être réconciliées si l’on apprend à voir Dieu comme la promesse de l’accomplissement de l’homme.
Abdennour Bidar, lui-même philosophe musulman appelant à un « islam sans soumission », nous invite à découvrir cette vision libératrice.
Précédemment paru sous le titre L’islam face à la mort de Dieu, ce livre est ici augmenté d’un chapitre inédit consacré à la délicate question de l’héritage politique de Iqbal.
Figure spirituelle majeure de l’Islam du sous-continent indien, Mohammed Iqbal (1873-1938), juriste et poète, a souvent été surnommé le « Luther de l’islam ». Dès 1905, il donne à la religion de Mahomet la tâche de se confronter à l’annonce occidentale de la « mort de Dieu » : aux croyants, il demande de prendre acte du fait que Dieu s’est éclipsé de notre monde et que personne ne peut plus s’autoriser de lui ; aux incroyants, il propose un chemin pour sortir de l’angoisse de la perte de sens. La voie du salut céleste et celle du bonheur terrestre peuvent être réconciliées si l’on apprend à voir Dieu comme la promesse de l’accomplissement de l’homme.
Abdennour Bidar, lui-même philosophe musulman appelant à un « islam sans soumission », nous invite à découvrir cette vision libératrice.