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THOREAU Henry David Walden ou la vie dans les bois. Texte intégral (préface de Frédéric Gros) Librairie Eklectic

Walden ou la vie dans les bois. Texte intégral (préface de Frédéric Gros)

Auteur : THOREAU Henry David
Editeur : ALBIN MICHEL         collection : SPIRITUALITES VIVANTES
Nombre de pages : 448
Date de parution : 01/09/2017
Forme : Livre de poche ISBN : 9782226326881
SV304

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 8.90€

Préface de Frédéric Gros

Traduction de Louis Fabulet

« Simplifiez, simplifiez ! » : telle est l’invitation de Thoreau dans ce chef-d’œuvre de la littérature américaine qu’est Walden. Au printemps 1845, l’écrivain a décidé de vivre cette expérience d’un quotidien fait de peu de choses et qui s’abandonne à la présence de la nature. « Ne devant rien à personne, travaillant juste assez pour pouvoir se nourrir, se vêtir et se chauffer, et surtout, surtout jouissant à profusion des dons du monde. Les bruits et les couleurs, les dessins des paysages, les rencontres animales, les brises du matin ou les caresses du soleil : ce seront ses uniques richesses pendant près de mille jours », résume le philosophe Fréderic Gros dans sa préface. Ce dernier souligne combien cette « vie dans les bois » allait bientôt résonner comme un appel au renouveau et à l’insoumission : « Tout est là : il ne s’agit pas d’accumuler, d’avancer, ni même de croire, mais de revivre à soi-même, de se surprendre, de se recommencer. » Un renouveau auquel la nature toujours nous éveille dans ces pages visionnaires.


Préface de Frédéric Gros

Traduction de Louis Fabulet

« Simplifiez, simplifiez ! » : telle est l’invitation de Thoreau dans ce chef-d’œuvre de la littérature américaine qu’est Walden. Au printemps 1845, l’écrivain a décidé de vivre cette expérience d’un quotidien fait de peu de choses et qui s’abandonne à la présence de la nature. « Ne devant rien à personne, travaillant juste assez pour pouvoir se nourrir, se vêtir et se chauffer, et surtout, surtout jouissant à profusion des dons du monde. Les bruits et les couleurs, les dessins des paysages, les rencontres animales, les brises du matin ou les caresses du soleil : ce seront ses uniques richesses pendant près de mille jours », résume le philosophe Fréderic Gros dans sa préface. Ce dernier souligne combien cette « vie dans les bois » allait bientôt résonner comme un appel au renouveau et à l’insoumission : « Tout est là : il ne s’agit pas d’accumuler, d’avancer, ni même de croire, mais de revivre à soi-même, de se surprendre, de se recommencer. » Un renouveau auquel la nature toujours nous éveille dans ces pages visionnaires.