"Philosophe attentive à la source hébraïque de notre culture, Catherine Chalier s’intéresse ici à un thème négligé en philosophie : les larmes. Les pleurs de Jacob, d’Esaü ou de Joseph, ceux des prophètes ou du psalmiste incitent à réfléchir à toute une gamme d’émotions, du désespoir à la joie, de la révolte à la compassion. Mais la question essentielle qu’ils soulèvent est celle de la nature de l’homme, censé porter en lui l’image de Dieu, et dont on peut se demander quelle fragilité constitutive le rend capable de pleurer. Plus profondément encore, la tradition orale du judaïsme (Talmud et Midrash) n’hésite pas à évoquer les larmes de Dieu. Sur qui et sur quoi l’Éternel pleure-t-il ? Que nous disent ses larmes de sa relation aux hommes ?
Catherine Chalier, en analysant les réponses multiples de la tradition hébraïque, montre comment elles relèvent d’une pensée sans cesse tournée vers la vie partagée.
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Philosophe attentive à la source hébraïque de notre culture, Catherine Chalier s’intéresse ici à un thème négligé en philosophie : les larmes. Les pleurs de Jacob, d’Esaü ou de Joseph, ceux des prophètes ou du psalmiste incitent à réfléchir à toute une gamme d’émotions, du désespoir à la joie, de la révolte à la compassion. Mais la question essentielle qu’ils soulèvent est celle de la nature de l’homme, censé porter en lui l’image de Dieu, et dont on peut se demander quelle fragilité constitutive le rend capable de pleurer. Plus profondément encore, la tradition orale du judaïsme (Talmud et Midrash) n’hésite pas à évoquer les larmes de Dieu. Sur qui et sur quoi l’Éternel pleure-t-il ? Que nous disent ses larmes de sa relation aux hommes ?
Catherine Chalier, en analysant les réponses multiples de la tradition hébraïque, montre comment elles relèvent d’une pensée sans cesse tournée vers la vie partagée."
"Philosophe attentive à la source hébraïque de notre culture, Catherine Chalier s’intéresse ici à un thème négligé en philosophie : les larmes. Les pleurs de Jacob, d’Esaü ou de Joseph, ceux des prophètes ou du psalmiste incitent à réfléchir à toute une gamme d’émotions, du désespoir à la joie, de la révolte à la compassion. Mais la question essentielle qu’ils soulèvent est celle de la nature de l’homme, censé porter en lui l’image de Dieu, et dont on peut se demander quelle fragilité constitutive le rend capable de pleurer. Plus profondément encore, la tradition orale du judaïsme (Talmud et Midrash) n’hésite pas à évoquer les larmes de Dieu. Sur qui et sur quoi l’Éternel pleure-t-il ? Que nous disent ses larmes de sa relation aux hommes ?
Catherine Chalier, en analysant les réponses multiples de la tradition hébraïque, montre comment elles relèvent d’une pensée sans cesse tournée vers la vie partagée.
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Philosophe attentive à la source hébraïque de notre culture, Catherine Chalier s’intéresse ici à un thème négligé en philosophie : les larmes. Les pleurs de Jacob, d’Esaü ou de Joseph, ceux des prophètes ou du psalmiste incitent à réfléchir à toute une gamme d’émotions, du désespoir à la joie, de la révolte à la compassion. Mais la question essentielle qu’ils soulèvent est celle de la nature de l’homme, censé porter en lui l’image de Dieu, et dont on peut se demander quelle fragilité constitutive le rend capable de pleurer. Plus profondément encore, la tradition orale du judaïsme (Talmud et Midrash) n’hésite pas à évoquer les larmes de Dieu. Sur qui et sur quoi l’Éternel pleure-t-il ? Que nous disent ses larmes de sa relation aux hommes ?
Catherine Chalier, en analysant les réponses multiples de la tradition hébraïque, montre comment elles relèvent d’une pensée sans cesse tournée vers la vie partagée."