Inspiré par ses rencontres et ses expériences des contes, des histoires et légendes de toutes les traditions, l’auteur essaye d’approcher cette qualité humaine somme toute assez rare qu’est la sagesse.
La tradition du conte d’éveil est aussi ancienne que la parole et aussi répandue que l’homme sur la terre. Mais qu’est-ce donc que la sagesse ? En fait, nul n’en sait rien. Elle est composée du néant, dit Job. Elle ne suit aucune doctrine ni chemin tracé. Pourtant, quelques signes en dessinent les contours : le non-conformisme, la liberté, l’audace, une sérénité que rien ne saurait bousculer, une confiance sans limite, une qualité d’attention face au monde, une lucidité sans faille, ou au contraire une naïveté et une simplicité désarmantes, et parfois même un peu de folie…
Ainsi la sagesse s’oppose-t-elle au fanatisme. Le fanatique veut imposer son idéologie ou sa manière de vivre par la contrainte ou la violence. Le sage n’impose rien.
« Savoir que je ne suis rien, c’est la sagesse. Savoir que je suis tout, c’est l’amour. Entre la sagesse et l’amour il y a ma vie », enseignait Nisargadatta Maharaj.
Inspiré par ses rencontres et ses expériences des contes, des histoires et légendes de toutes les traditions, l’auteur essaye d’approcher cette qualité humaine somme toute assez rare qu’est la sagesse.
La tradition du conte d’éveil est aussi ancienne que la parole et aussi répandue que l’homme sur la terre. Mais qu’est-ce donc que la sagesse ? En fait, nul n’en sait rien. Elle est composée du néant, dit Job. Elle ne suit aucune doctrine ni chemin tracé. Pourtant, quelques signes en dessinent les contours : le non-conformisme, la liberté, l’audace, une sérénité que rien ne saurait bousculer, une confiance sans limite, une qualité d’attention face au monde, une lucidité sans faille, ou au contraire une naïveté et une simplicité désarmantes, et parfois même un peu de folie…
Ainsi la sagesse s’oppose-t-elle au fanatisme. Le fanatique veut imposer son idéologie ou sa manière de vivre par la contrainte ou la violence. Le sage n’impose rien.
« Savoir que je ne suis rien, c’est la sagesse. Savoir que je suis tout, c’est l’amour. Entre la sagesse et l’amour il y a ma vie », enseignait Nisargadatta Maharaj.