Archétypes & Histoire. Volume 2 : Le Haut-Empire romain
La métahistoire que nous explorons ici pourrait être perçue comme le jeu coloré de diverses bulles de sens. Animées par des forces archétypales, ces bulles naissent, croissent, interagissent entre elles, miroitent de tous leurs feux, puis s’amincissent et disparaissent… avant de ressurgir sous une forme nouvelle, teintée des fragiles coloris de l’époque renaissante.
Dans ce second volume nous partons à la rencontre de deux archétypes : la liberté prométhéenne et la foi non questionnée en une destinée commune. La danse de ces valeurs contraires produit une culture spécifique grâce au mariage de l’innovation et du sens de l’unité.
Nous explorons dans un premier temps le cycle des révélations. Comment comprendre en effet que les cinq temps majeurs de l’histoire spirituelle occidentale que sont le miracle grec (-577), la révélation chrétienne (23), la naissance de l’ère musulmane (623), François d’Assise (1223) et le surgissement des écoles ésotériques au XIXe siècle… soient séparés exactement de 600 ans chaque fois ?
Les cycles Uranus-Neptune – le besoin de liberté et d’unité – rythment également la construction de la culture européenne depuis que l’Europe existe en tant qu’entité politique. Pour l’illustrer, nous revenons à ses origines et revisitons le Haut-Empire romain. Celui-ci prit sa source dans quelques événements discrets dont l’importance ne fut comprise que beaucoup plus tard comme, par exemple, le premier triumvirat. Ce ne furent pas mille ans de croissance, d’apogée et de décroissance qui seraient assez simple à analyser mais un territoire dont le gouvernement a sensiblement changé. Il s’est progressivement transformé sous le poids des légions qui finirent, non seulement par l’épuiser économiquement, mais aussi par se retourner contre l’idée même qui fut à l’origine de son élaboration et de son organisation. Les autres éléments mortifères pour l’Empire étant bien sûr les deux points de révélation qui ont changé le cours de l’Histoire : l’introduction progressive du christianisme dans la société romaine puis la naissance de l’islam.
La métahistoire que nous explorons ici pourrait être perçue comme le jeu coloré de diverses bulles de sens. Animées par des forces archétypales, ces bulles naissent, croissent, interagissent entre elles, miroitent de tous leurs feux, puis s’amincissent et disparaissent… avant de ressurgir sous une forme nouvelle, teintée des fragiles coloris de l’époque renaissante.
Dans ce second volume nous partons à la rencontre de deux archétypes : la liberté prométhéenne et la foi non questionnée en une destinée commune. La danse de ces valeurs contraires produit une culture spécifique grâce au mariage de l’innovation et du sens de l’unité.
Nous explorons dans un premier temps le cycle des révélations. Comment comprendre en effet que les cinq temps majeurs de l’histoire spirituelle occidentale que sont le miracle grec (-577), la révélation chrétienne (23), la naissance de l’ère musulmane (623), François d’Assise (1223) et le surgissement des écoles ésotériques au XIXe siècle… soient séparés exactement de 600 ans chaque fois ?
Les cycles Uranus-Neptune – le besoin de liberté et d’unité – rythment également la construction de la culture européenne depuis que l’Europe existe en tant qu’entité politique. Pour l’illustrer, nous revenons à ses origines et revisitons le Haut-Empire romain. Celui-ci prit sa source dans quelques événements discrets dont l’importance ne fut comprise que beaucoup plus tard comme, par exemple, le premier triumvirat. Ce ne furent pas mille ans de croissance, d’apogée et de décroissance qui seraient assez simple à analyser mais un territoire dont le gouvernement a sensiblement changé. Il s’est progressivement transformé sous le poids des légions qui finirent, non seulement par l’épuiser économiquement, mais aussi par se retourner contre l’idée même qui fut à l’origine de son élaboration et de son organisation. Les autres éléments mortifères pour l’Empire étant bien sûr les deux points de révélation qui ont changé le cours de l’Histoire : l’introduction progressive du christianisme dans la société romaine puis la naissance de l’islam.