"Depuis la première édition de ce livre en 2001, toutes les études sérieuses publiées ont donné raison au Professeur Henri Joyeux : les hormones du Traitement Hormonal Substitutif sont dangereuses pour la santé. Elles sont responsables de nombreux cas de cancer du sein, de l´utérus et, probablement aussi, des ovaires. Le Pr Henri Joyeux est un des rares cancérologues à avoir eu le courage d´alerter les femmes pour qu´elles choisissent en étant bien informées. Il apporte les preuves scientifiques, démontrées aux dépens des femmes elles-mêmes, de ce qu´il a lui-même annoncé, il y a plus de vingt ans. Plus personne ne peut contester ses écrits qu´il préfère adresser directement aux femmes qui sont les premières concernées et qui ont été trompées, exploitées gravement. On leur a fait croire que les cancers seraient évités et c´est l´inverse qui est observé dans toute l´Europe: il y en a de plus en plus. On leur a fait croire que les hormones substitutives réduiraient les risques de maladies cardiovasculaires ou d´accidents vasculaires cérébraux et c´est l´inverse qui est arrivé. On leur a fait croire que le vieillissement et la démence seraient évités et c´est l´inverse qui a été observé. Les seuls effets positifs du THS sont la réduction des bouffées de chaleur et de la sécheresse vaginale, pas plus d´une année, peut-être de l´ostéoporose, mais on sait maintenant que les changements d´habitudes alimentaires, les huiles essentielles et une forte activité physique peuvent éviter tous ces troubles. Cette nouvelle édition apporte les dernières démonstrations qui justifient d´arrêter le THS sous quelque forme que ce soit. Elle ouvre un vaste débat sur toutes les autres utilisations hormonales, que les femmes consomment dès leur plus jeune âge. Car entre le THS et la pilule: ""bonnet blanc et blanc bonnet"". Les mères doivent informer leurs filles. Les filles aussi doivent être averties, car il ne se passe pas de semaine sans que les cancérologues ne voient de très jeunes femmes atteintes de cancer du sein. La profession n´ose pas encore se prononcer. Le Professeur Henri Joyeux, avec courage, pose les vrais questions, celles que se posent toutes les femmes modernes."
"Depuis la première édition de ce livre en 2001, toutes les études sérieuses publiées ont donné raison au Professeur Henri Joyeux : les hormones du Traitement Hormonal Substitutif sont dangereuses pour la santé. Elles sont responsables de nombreux cas de cancer du sein, de l´utérus et, probablement aussi, des ovaires. Le Pr Henri Joyeux est un des rares cancérologues à avoir eu le courage d´alerter les femmes pour qu´elles choisissent en étant bien informées. Il apporte les preuves scientifiques, démontrées aux dépens des femmes elles-mêmes, de ce qu´il a lui-même annoncé, il y a plus de vingt ans. Plus personne ne peut contester ses écrits qu´il préfère adresser directement aux femmes qui sont les premières concernées et qui ont été trompées, exploitées gravement. On leur a fait croire que les cancers seraient évités et c´est l´inverse qui est observé dans toute l´Europe: il y en a de plus en plus. On leur a fait croire que les hormones substitutives réduiraient les risques de maladies cardiovasculaires ou d´accidents vasculaires cérébraux et c´est l´inverse qui est arrivé. On leur a fait croire que le vieillissement et la démence seraient évités et c´est l´inverse qui a été observé. Les seuls effets positifs du THS sont la réduction des bouffées de chaleur et de la sécheresse vaginale, pas plus d´une année, peut-être de l´ostéoporose, mais on sait maintenant que les changements d´habitudes alimentaires, les huiles essentielles et une forte activité physique peuvent éviter tous ces troubles. Cette nouvelle édition apporte les dernières démonstrations qui justifient d´arrêter le THS sous quelque forme que ce soit. Elle ouvre un vaste débat sur toutes les autres utilisations hormonales, que les femmes consomment dès leur plus jeune âge. Car entre le THS et la pilule: ""bonnet blanc et blanc bonnet"". Les mères doivent informer leurs filles. Les filles aussi doivent être averties, car il ne se passe pas de semaine sans que les cancérologues ne voient de très jeunes femmes atteintes de cancer du sein. La profession n´ose pas encore se prononcer. Le Professeur Henri Joyeux, avec courage, pose les vrais questions, celles que se posent toutes les femmes modernes."