La catastrophe de Fukushima a secoué l’humanité assoupie et lui a rappelé qu’elle dormait sur un volcan. Elle voudrait s’endormir à nouveau, mais les conséquences persistent et renouvellent leur signal d’alarme. Peter Tradowsky pose à ce propos la question de l’énergie nucléaire : D’où proviennent ces puissantes forces de destruction, quels sont leur nature, leur mode d’action, quel est leur but ?
À terme, ces forces menacent l’existence même de l’humanité et de la Terre à une échéance assez brève, même en ne considérant que l’utilisation de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques – 3 000 à 4 000 ans – !
Peter Tradowsky pose alors une autre question : Existe-t-il une force que l’on pourrait opposer à ces forces hostiles à l’homme ? Lors du Golgotha, le Christ a déjà une fois sauvé l’humanité dans le monde physique. Quelle possibilité de salut s’offre à l’homme et peut-il rester passif devant cette destruction programmée, et, au pire, y contribuer ?
Il pose enfin cette dernière question : Où en sommes-nous aujourd’hui, même dans les cercles qui, grâce à l’anthroposophie, peuvent avoir une conscience claire de la situation ?
La catastrophe de Fukushima a secoué l’humanité assoupie et lui a rappelé qu’elle dormait sur un volcan. Elle voudrait s’endormir à nouveau, mais les conséquences persistent et renouvellent leur signal d’alarme. Peter Tradowsky pose à ce propos la question de l’énergie nucléaire : D’où proviennent ces puissantes forces de destruction, quels sont leur nature, leur mode d’action, quel est leur but ?
À terme, ces forces menacent l’existence même de l’humanité et de la Terre à une échéance assez brève, même en ne considérant que l’utilisation de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques – 3 000 à 4 000 ans – !
Peter Tradowsky pose alors une autre question : Existe-t-il une force que l’on pourrait opposer à ces forces hostiles à l’homme ? Lors du Golgotha, le Christ a déjà une fois sauvé l’humanité dans le monde physique. Quelle possibilité de salut s’offre à l’homme et peut-il rester passif devant cette destruction programmée, et, au pire, y contribuer ?
Il pose enfin cette dernière question : Où en sommes-nous aujourd’hui, même dans les cercles qui, grâce à l’anthroposophie, peuvent avoir une conscience claire de la situation ?