On a d’ordinaire une image du Christ venu du monde spirituel avec toutes les facultés d’un dieu, accomplissant des miracles et étonnant le monde par ses facultés surnaturelles. Le lecteur lira avec émotion cette évocation du chemin de croix de Jésus-Christ. Grâce à sa capacité de voir directement les événements concernant la vie sur terre du Christ, Judith von Halle complète les données de l’anthroposophie qui lui sont familières. Elle décrit avec précision, comme un événement vivant auquel elle fait participer le lecteur, les sept stations du Christ, contraint de porter lui-même l’instrument de son supplice et de sa mort, la charge la plus lourde étant constituée de tout le poids des péchés du monde. Les sept paroles du Christ résonnent alors autrement à nos oreilles quand elles sont situées dans la portée que leur donne l’auteur et dans leur correspondance avec les sept stations. Le lecteur se trouve ici en présence de l’indicible souffrance d’un dieu qui est allé jusqu’aux limites extrêmes de l’humiliation, de la faiblesse et de la mort pour sauver l’humanité.
Judith von Halle expose à la fin de l’ouvrage à quoi correspond le sang versé par le Christ et ce que signifie le « corps de résurrection ». « Le corps de résurrection est le début de la spiritualisation de la forme physique de l’homme. Ainsi, le Mystère de la métamorphose est une nouvelle impulsion que le Christ a implantée dansl’humanité »
On a d’ordinaire une image du Christ venu du monde spirituel avec toutes les facultés d’un dieu, accomplissant des miracles et étonnant le monde par ses facultés surnaturelles. Le lecteur lira avec émotion cette évocation du chemin de croix de Jésus-Christ. Grâce à sa capacité de voir directement les événements concernant la vie sur terre du Christ, Judith von Halle complète les données de l’anthroposophie qui lui sont familières. Elle décrit avec précision, comme un événement vivant auquel elle fait participer le lecteur, les sept stations du Christ, contraint de porter lui-même l’instrument de son supplice et de sa mort, la charge la plus lourde étant constituée de tout le poids des péchés du monde. Les sept paroles du Christ résonnent alors autrement à nos oreilles quand elles sont situées dans la portée que leur donne l’auteur et dans leur correspondance avec les sept stations. Le lecteur se trouve ici en présence de l’indicible souffrance d’un dieu qui est allé jusqu’aux limites extrêmes de l’humiliation, de la faiblesse et de la mort pour sauver l’humanité.
Judith von Halle expose à la fin de l’ouvrage à quoi correspond le sang versé par le Christ et ce que signifie le « corps de résurrection ». « Le corps de résurrection est le début de la spiritualisation de la forme physique de l’homme. Ainsi, le Mystère de la métamorphose est une nouvelle impulsion que le Christ a implantée dansl’humanité »