"Ce livre dont le support est le mythe grec d’Europe enlevée et violée par Zeus, le Dieu Père déguisé en Taureau, analyse les causes de la violence endémique à l’égard du féminin qui a caractérisé et caractérise encore aujourd’hui les sociétés patriarcales. Sociétés où le féminin, âme du monde aux époques néolithiques, a été destitué par l’avènement des héros guerriers, puis démonisé par les Dieux Pères jusques et y compris aux âges bibliques, fondements des cultures où nous évoluons aujourd’hui.
La façon traditionnelle de présenter le mythe d’Europe comme une plaisante histoire d’amour entre le Dieu Père et une mortelle nommée Europe, reflète la vision patriarcale qui a confondu viol et amour, parce qu’elle n’a pris en compte que le point de vue de l’homme.
On découvrira qu’étrangement, ce mythe d’Europe porte en lui l’explication de certains grands traits de la culture européenne, tels l’hypertrophie des qualités viriles conquérantes développées sur tous les plans, en même temps qu’un déficit de féminin.
Ce regard porté sur les cultures européennes (et par voie de conséquence sur tout l’Occident qui en est issu), permet d’y déterminer un trop plein « d’avoir » et un certain manque « d’être », traçant ainsi ce qui pourrait devenir un nouveau contour pour une personnalité plus équilibrée entre matériel et spirituel."
"Ce livre dont le support est le mythe grec d’Europe enlevée et violée par Zeus, le Dieu Père déguisé en Taureau, analyse les causes de la violence endémique à l’égard du féminin qui a caractérisé et caractérise encore aujourd’hui les sociétés patriarcales. Sociétés où le féminin, âme du monde aux époques néolithiques, a été destitué par l’avènement des héros guerriers, puis démonisé par les Dieux Pères jusques et y compris aux âges bibliques, fondements des cultures où nous évoluons aujourd’hui.
La façon traditionnelle de présenter le mythe d’Europe comme une plaisante histoire d’amour entre le Dieu Père et une mortelle nommée Europe, reflète la vision patriarcale qui a confondu viol et amour, parce qu’elle n’a pris en compte que le point de vue de l’homme.
On découvrira qu’étrangement, ce mythe d’Europe porte en lui l’explication de certains grands traits de la culture européenne, tels l’hypertrophie des qualités viriles conquérantes développées sur tous les plans, en même temps qu’un déficit de féminin.
Ce regard porté sur les cultures européennes (et par voie de conséquence sur tout l’Occident qui en est issu), permet d’y déterminer un trop plein « d’avoir » et un certain manque « d’être », traçant ainsi ce qui pourrait devenir un nouveau contour pour une personnalité plus équilibrée entre matériel et spirituel."