« Il se trouve que je me suis tenu un jour dans un lit d’hôpital, au dernier degré du désespoir. Quand soudain, la lecture de Pretium doloris de Cynthia Fleury orchestra ma rémission, m’intima de me relever. Le philosophe annonçait que l’accident offre l’occasion de se pencher sur soi, de recomposer l’espace, de réinventer la vie. Mais on aurait grand tort de réduire Pretium doloris à un guide de survie. Car la douleur, nous dit l’auteur, n’est pas l’apanage des blessés de la vie. Il n’y a pas besoin d’un accident physique pour comprendre que la vie nous couvre de ses bleus. Il y a besoin de Cynthia Fleury pour savoir quoi tirer de la difficulté d’être. »
Sylvain Tesson
Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste, est professeur à l’American University of Paris. Elle est membre du Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) et de la cellule d’urgence médico-psychologique (CUMP) du SAMU-Necker.
« Il se trouve que je me suis tenu un jour dans un lit d’hôpital, au dernier degré du désespoir. Quand soudain, la lecture de Pretium doloris de Cynthia Fleury orchestra ma rémission, m’intima de me relever. Le philosophe annonçait que l’accident offre l’occasion de se pencher sur soi, de recomposer l’espace, de réinventer la vie. Mais on aurait grand tort de réduire Pretium doloris à un guide de survie. Car la douleur, nous dit l’auteur, n’est pas l’apanage des blessés de la vie. Il n’y a pas besoin d’un accident physique pour comprendre que la vie nous couvre de ses bleus. Il y a besoin de Cynthia Fleury pour savoir quoi tirer de la difficulté d’être. »
Sylvain Tesson
Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste, est professeur à l’American University of Paris. Elle est membre du Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) et de la cellule d’urgence médico-psychologique (CUMP) du SAMU-Necker.