« L´image de l´homme que nous offre la psychologie moderne n´est pas seulement fragmentaire, elle est misérable. En réalité, l´homme est suspendu entre l´animalité et la divinité ; or la pensée moderne, qu´elle soit philosophique ou scientifique, n´admet pratiquement que l´animalité. »
Le propos de cet ouvrage est de réaffirmer la noblesse native de la nature humaine déiforme. L´apanage fondamental de l´homme est en effet l´ouverture de son intelligence à la connaissance métaphysique, c´est-à-dire sa faculté de connaître et aimer Dieu - et par suite le Beau, le Bien et le Vrai. Cette faculté détermine le sens du sacré, de la prière et de la contemplation. Toutes choses sont alors reconduites à leur source divine comme autant de théophanies. Ainsi le symbole parle-t-il à notre intelligence et la création est-elle rendue à sa transparence métaphysique originelle.
Il s´agit donc de corriger et parfaire l´image de l´homme, aujourd´hui mutilée, pour rendre compte de sa vraie nature. C´est cela ce que l´auteur croit pouvoir appeler la « transfiguration de l´homme ».
« L´image de l´homme que nous offre la psychologie moderne n´est pas seulement fragmentaire, elle est misérable. En réalité, l´homme est suspendu entre l´animalité et la divinité ; or la pensée moderne, qu´elle soit philosophique ou scientifique, n´admet pratiquement que l´animalité. »
Le propos de cet ouvrage est de réaffirmer la noblesse native de la nature humaine déiforme. L´apanage fondamental de l´homme est en effet l´ouverture de son intelligence à la connaissance métaphysique, c´est-à-dire sa faculté de connaître et aimer Dieu - et par suite le Beau, le Bien et le Vrai. Cette faculté détermine le sens du sacré, de la prière et de la contemplation. Toutes choses sont alors reconduites à leur source divine comme autant de théophanies. Ainsi le symbole parle-t-il à notre intelligence et la création est-elle rendue à sa transparence métaphysique originelle.
Il s´agit donc de corriger et parfaire l´image de l´homme, aujourd´hui mutilée, pour rendre compte de sa vraie nature. C´est cela ce que l´auteur croit pouvoir appeler la « transfiguration de l´homme ».