Le grade de Rose-Croix est un des plus emblématiques du parcours maçonnique, qu´il soit intitulé grade de Chevalier Rose-Croix (18e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté) ou Souverain Prince Rose-Croix (IVe Ordre du Rite Français). Il est l´objet de projections plus ou moins fantasmées, que l´on ait été ou pas reçu à ce grade, que l´on soit franc-maçon ou non. Souvent associé abusivement aux mouvements rosicruciens du XVIIe siècle, il ne peut être obtenu qu´après un long parcours maçonnique et propose de retrouver la Parole perdue par la métaphore de la Passion.
Essentiel, le grade suscite des approches différenciées : les unes restent fidèles à la tradition d´un grade chrétien d´origine, les autres privilégient une lecture sécularisée qui prend naissance à la fin du XVIIIe siècle et s´accentue aujourd´hui.
Dans cet ouvrage nous présentons et contextualisons ces deux lectures en nous appuyant sur les riches illustrations du grade et ses objets rituels empruntés à de multiples sources. L´explication de cette très belle iconographie dévoile des pans entiers de l´enseignement du grade, inconnu des maçons contemporains et pourtant essentiel. Les séquences et les motifs clefs de l´initiation permettent de partager connaissances et analyses avec les maçons d´aujourd´hui.
Le grade de Rose-Croix est un des plus emblématiques du parcours maçonnique, qu´il soit intitulé grade de Chevalier Rose-Croix (18e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté) ou Souverain Prince Rose-Croix (IVe Ordre du Rite Français). Il est l´objet de projections plus ou moins fantasmées, que l´on ait été ou pas reçu à ce grade, que l´on soit franc-maçon ou non. Souvent associé abusivement aux mouvements rosicruciens du xviie siècle, il ne peut être obtenu qu´après un long parcours maçonnique et propose de retrouver la Parole perdue par la métaphore de la Passion.
Essentiel, le grade suscite des approches différenciées : les unes restent fidèles à la tradition d´un grade chrétien d´origine, les autres privilégient une lecture sécularisée qui prend naissance à la fin du xviiie siècle et s´accentue aujourd´hui.
Dans cet ouvrage nous présentons et contextualisons ces deux lectures en nous appuyant sur les riches illustrations du grade et ses objets rituels empruntés à de multiples sources. L´explication de cette très belle iconographie dévoile des pans entiers de l´enseignement du grade, inconnu des maçons contemporains et pourtant essentiel. Les séquences et les motifs clefs de l´initiation permettent de partager connaissances et analyses avec les maçons d´aujourd´hui.
Le grade de Rose-Croix est un des plus emblématiques du parcours maçonnique, qu´il soit intitulé grade de Chevalier Rose-Croix (18e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté) ou Souverain Prince Rose-Croix (IVe Ordre du Rite Français). Il est l´objet de projections plus ou moins fantasmées, que l´on ait été ou pas reçu à ce grade, que l´on soit franc-maçon ou non. Souvent associé abusivement aux mouvements rosicruciens du XVIIe siècle, il ne peut être obtenu qu´après un long parcours maçonnique et propose de retrouver la Parole perdue par la métaphore de la Passion.
Essentiel, le grade suscite des approches différenciées : les unes restent fidèles à la tradition d´un grade chrétien d´origine, les autres privilégient une lecture sécularisée qui prend naissance à la fin du XVIIIe siècle et s´accentue aujourd´hui.
Dans cet ouvrage nous présentons et contextualisons ces deux lectures en nous appuyant sur les riches illustrations du grade et ses objets rituels empruntés à de multiples sources. L´explication de cette très belle iconographie dévoile des pans entiers de l´enseignement du grade, inconnu des maçons contemporains et pourtant essentiel. Les séquences et les motifs clefs de l´initiation permettent de partager connaissances et analyses avec les maçons d´aujourd´hui.
Le grade de Rose-Croix est un des plus emblématiques du parcours maçonnique, qu´il soit intitulé grade de Chevalier Rose-Croix (18e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté) ou Souverain Prince Rose-Croix (IVe Ordre du Rite Français). Il est l´objet de projections plus ou moins fantasmées, que l´on ait été ou pas reçu à ce grade, que l´on soit franc-maçon ou non. Souvent associé abusivement aux mouvements rosicruciens du xviie siècle, il ne peut être obtenu qu´après un long parcours maçonnique et propose de retrouver la Parole perdue par la métaphore de la Passion.
Essentiel, le grade suscite des approches différenciées : les unes restent fidèles à la tradition d´un grade chrétien d´origine, les autres privilégient une lecture sécularisée qui prend naissance à la fin du xviiie siècle et s´accentue aujourd´hui.
Dans cet ouvrage nous présentons et contextualisons ces deux lectures en nous appuyant sur les riches illustrations du grade et ses objets rituels empruntés à de multiples sources. L´explication de cette très belle iconographie dévoile des pans entiers de l´enseignement du grade, inconnu des maçons contemporains et pourtant essentiel. Les séquences et les motifs clefs de l´initiation permettent de partager connaissances et analyses avec les maçons d´aujourd´hui.