À côté de l’imagerie symbolique « classique » qui est là pour fournir au maçon les outils de sa réflexion, il existe, depuis les débuts de la maçonnerie, une catégorie d’images qui n’est pas destinée à diriger l’attention sur un contenu symbolique, ésotérique ou spirituel. Il s’agit de gravures illustrant les cérémonies, les réceptions aux premiers grades en particulier. Elles ont été considérées comme des divulgations par l’image, de même que les ouvrages, les brochures, feuillets, opuscules, libellés et tracts étaient considérés comme des divulgations imprimées. Ces estampes accompagnent parfois les textes, mais on a aussi produit des séries « libres », sans les insérer dans un ouvrage. Ce sont de véritables photographies de reportage, même si les graveurs ont travaillé le plus souvent d’après compte-rendu (plus ou moins) et non en direct, comme le reporter-photographe
À côté de l’imagerie symbolique « classique » qui est là pour fournir au maçon les outils de sa réflexion, il existe, depuis les débuts de la maçonnerie, une catégorie d’images qui n’est pas destinée à diriger l’attention sur un contenu symbolique, ésotérique ou spirituel. Il s’agit de gravures illustrant les cérémonies, les réceptions aux premiers grades en particulier. Elles ont été considérées comme des divulgations par l’image, de même que les ouvrages, les brochures, feuillets, opuscules, libellés et tracts étaient considérés comme des divulgations imprimées. Ces estampes accompagnent parfois les textes, mais on a aussi produit des séries « libres », sans les insérer dans un ouvrage. Ce sont de véritables photographies de reportage, même si les graveurs ont travaillé le plus souvent d’après compte-rendu (plus ou moins) et non en direct, comme le reporter-photographe